Promesse écrite
ft. Cosette
Lelanaserine - Nueva
La profession de Sage s'accompagnait de la direction et du choix de dix tribuns. Et justement...
Bien que d'ordinaire il était communément dit que les tribuns étaient choisis aléatoirement, vous, Sages, pouviez tout à fait (sans le dire ouvertement) choisir vous même vos tribuns. Après tout, avant de devenir Nonus, tu avais bien été choisie par l'ancien Nonus, et ce, de façon tout à fait autre qu'aléatoire. Aussi, aujourd'hui, tu avais décidé de choisir un tribun. Une grande amie. Depuis longtemps. pas aussi longtemps que tu aurais pu, avec ton âge plus avancé que le sien, mais tout de même. Cosette Lyn'ham. Elle était une all'ombra, d'une beauté renversante, selon toi. Et d'une gentillesse aussi grande. ELle tenait une bibliothèque en Nueva, en lelanaserine, et tu t'y rendais souvent, si bien que tu commençais à la connaître par coeur. Après tout, te plonger dans ces bouquins étaient soit source de divertissement, soit façon de connaître de plus en plus sur le pays. Tu n'avais jamais fini d'apprendre...
Sa bibliothèque pour destination, tu étais drapée d'une tunique bleue, avec des reflets rouges. TU avais laissé tes armes au dojo. Tes cheveux d'un blanc lumineux étaient attachés en queue de cheval, tandis que tu passais ta main dans ta nuque, gênée par moments du regard que l'on t'accordait. L'on te reconnaissait, t'accorder un salut, et tu répondais amicalement. Il ne fallait pas fâcher les électeurs.
Arrivant bien vite, tu toquas à la porte, avant d'entrer. Cosette semblait occupée quelque part, vu que tu ne l'entendis pas accourir pour te saluer, ce, même après ton :
_ Coucou ? Cosette ?
TU la connaissais. Elle devait sans doute être occupée dans les pages d'un roman, à imaginer l'arrivée de son prince charmant... Ou princesse, qui savait ? Ou à décrire dans des lignes propres à elle comment les différentes anciennes batailles devaient se passer. Sa plume était légère, tu étais sûre que si un jour elle se lançait dans ce type d'écrits, elle saurait passer au delà de la simple sueur, larme, goutte de sang, pour inonder les pages de l'horreur de la guerre, afin de détruire dans l'imaginaire du peuple le côté honorable, afin d'éviter que de pauvres innocents meurent sur les champ de bataille. Une sainte.
La trouvant finalement, absorbée dans sa lecture, tu posas délicatement la main sur son épaule, pour qu'elle se rende compte de ta présence.
_ Je suis là. Tu souris, avant de t'asseoir près d'elle. Comment vas tu ? ELle était si douce sous tes doigts. Semblait si fragile. Alors ? Où t'es tu échappé, cette fois ? De quoi parlait donc ce livre là ?
Bien que d'ordinaire il était communément dit que les tribuns étaient choisis aléatoirement, vous, Sages, pouviez tout à fait (sans le dire ouvertement) choisir vous même vos tribuns. Après tout, avant de devenir Nonus, tu avais bien été choisie par l'ancien Nonus, et ce, de façon tout à fait autre qu'aléatoire. Aussi, aujourd'hui, tu avais décidé de choisir un tribun. Une grande amie. Depuis longtemps. pas aussi longtemps que tu aurais pu, avec ton âge plus avancé que le sien, mais tout de même. Cosette Lyn'ham. Elle était une all'ombra, d'une beauté renversante, selon toi. Et d'une gentillesse aussi grande. ELle tenait une bibliothèque en Nueva, en lelanaserine, et tu t'y rendais souvent, si bien que tu commençais à la connaître par coeur. Après tout, te plonger dans ces bouquins étaient soit source de divertissement, soit façon de connaître de plus en plus sur le pays. Tu n'avais jamais fini d'apprendre...
Sa bibliothèque pour destination, tu étais drapée d'une tunique bleue, avec des reflets rouges. TU avais laissé tes armes au dojo. Tes cheveux d'un blanc lumineux étaient attachés en queue de cheval, tandis que tu passais ta main dans ta nuque, gênée par moments du regard que l'on t'accordait. L'on te reconnaissait, t'accorder un salut, et tu répondais amicalement. Il ne fallait pas fâcher les électeurs.
Arrivant bien vite, tu toquas à la porte, avant d'entrer. Cosette semblait occupée quelque part, vu que tu ne l'entendis pas accourir pour te saluer, ce, même après ton :
_ Coucou ? Cosette ?
TU la connaissais. Elle devait sans doute être occupée dans les pages d'un roman, à imaginer l'arrivée de son prince charmant... Ou princesse, qui savait ? Ou à décrire dans des lignes propres à elle comment les différentes anciennes batailles devaient se passer. Sa plume était légère, tu étais sûre que si un jour elle se lançait dans ce type d'écrits, elle saurait passer au delà de la simple sueur, larme, goutte de sang, pour inonder les pages de l'horreur de la guerre, afin de détruire dans l'imaginaire du peuple le côté honorable, afin d'éviter que de pauvres innocents meurent sur les champ de bataille. Une sainte.
La trouvant finalement, absorbée dans sa lecture, tu posas délicatement la main sur son épaule, pour qu'elle se rende compte de ta présence.
_ Je suis là. Tu souris, avant de t'asseoir près d'elle. Comment vas tu ? ELle était si douce sous tes doigts. Semblait si fragile. Alors ? Où t'es tu échappé, cette fois ? De quoi parlait donc ce livre là ?
HRP
En color=maroon | texte=gras , c'est Faun qui parle. |