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Lost Kingdom  :: Personnage :: Présentations :: Présentations validées :: Empire

Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée]

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Jor' R. Hallvaror
IDENTITÉ

RACE ▬ Créature Mythologique, Jörmungandr.
AGE ▬ Unknown.
ORIENTATION SEXUELLE ▬ Pansexuel.
SITUATION PERSONNELLE ▬ Seul.
NATIONALITÉ ▬ L'Océan.
FACTION ▬ Empire
MÉTIER ▬ Chevalier Bras droit de la conquête, bien plus esclave d'impériaux qu'il souhaite lacérer de ses crocs. Serpent aux allures de chien fou, expérience saurienne de Ragnarok et d'une science qui se veut dieu.


MAGIE ET COMPÉTENCES
PHYSIQUE
❯ agilité x x ○ ○ ○
❯ force x x x ○ ○
❯ endurance x x ○ ○ ○
(TECHNO)MAGIE
❯ mana x x ○ ○ ○
❯ puissance x x x ○ ○
❯ contrôle ○ ○ ○ ○ ○
Sanguinem Anguis || Ce qui fait sa caractéristique principale, plus que sa taille et ses crocs, ce qui fait son adage, la fascination d’une science cristalline. Dans son corps saurien serpente des cristaux blancs, mais à défaut de ceux de Razgriz, ils n’ont ni la capacité de régénérer son corps, ni celle offensive. Ils respirent, ils filtrent, et tel un surprenant duo de la nature, ils donnent au sang du Jörmungandr non pas la vertu d’empoisonner, mais celle de contrer tout poison, y compris les effets néfastes des cristaux sur les êtres vivants. Son hémoglobine est un remède, précieux, étudié par les scientifiques de l’Empire pour le rendre plus efficace, et servir à leurs agissements, autant pour contrer la drogue découlant des cristaux que leurs émanations folles.

Timor Reptile || Depuis qu’il a acquis ce corps faible et frustrant, le Jörmungandr n’est que l’ombre de lui-même. Et c’est cette ombre, qui prouve encore son gigantisme. Cette compétence n’est guère contrôlable, elle s’invite, s’extirpe, rampe entre les émotions de Jor’, entre le rire et la fureur ; le hurlement de colère se transforme en sifflement putride, le soupir de convoitise en grondement d’écailles. L’effroi, l’angoisse, la paralysie de la survie qui glace l’adrénaline dans les veines ; une aura de cette suave idée entoure l’humanoïde. Il n’est pas humain, susurre-t-on alors. La preuve est là, tout autour de lui, bavant sur les épaules, sa faim terrible de créature. Il veut nous dévorer. Ca s’insinue dans chaque artère du corps, ça glisse un doigt fin et crochu sur notre nuque, ça attaque le regard ; la peur rampante réveillant l’instinct primaire.  

Oculi Oream || Propre aux serpents, le Jörmungandr possède tout autant cette compétence, fort utile pour chasser. A ses yeux, en particulier la nuit, il peut voir les rayons infrarouges émis par les êtres vivants à sang chaud. Cela s’appelle la thermosensibilité, fort utile lorsque quelqu’un se cache, ou pour deviner un changement émotionnel, car la température corporelle change en fonction de nos prouesses physiques mais aussi mentales. Il aperçoit le cœur pulser, paniquer, autant que la chaleur monter aux joues comme au ventre, les muscles fléchir, se préparer sous le sang affluant. Pratique même s’il y a un mur le séparant d’autrui, moins pratique avec, par exemple, les vampires s’ils n’ont pas bu du sang chaud récemment. Il apprécie cette capacité, jouant de celle-ci pour mieux comprendre autrui, leurs mensonges et leurs peurs.


PHYSIQUE
Il n’a jamais été doté d’une beauté à couper le souffle, il n’a jamais été question de cela, chez cette chose. Si la beauté est si subjective, elle prendrait tout son sens pour devenir l’antinomie d’un serpent. Jor’ se trouvait splendide, Jor’ se trouvait grandiose, puissant et terrible. C’était ce qu’il voyait, dans ses crocs acérés, dans ses yeux perçants. Mais jamais personne n’a partagé son avis ; c’était un monstre.

Ses écailles se parcouraient de la lumière traversant l’océan, glissant dans l’eau et dansant entre les algues. Sa peau était si froide, aussi dentelée que celle d’un requin. Son corps n’en finissait pas de glisser, encore, et encore. Le Jörmungandr n’avait rien à envier au Razgriz pour sa taille. Il aimait sortir de l’eau, ouvrir sa gueule terrible, laisser l’eau se déverser sur les matelots d’un navire trop prêt de son antre. Son haleine était aussi horrible que son regard jaune. Longiligne, agile, sautant d’entre les vagues pour que les tempêtes suivent ses anneaux. Et sous la lumière les cristaux brillaient dans sa peau. Sa langue sifflante rongeait l’âme, riant des mortels autant que des dieux.

Le Jörmungandr se croyait invincible, roi des océans, roi des abysses et de ses habitants. Car le plus gros dévore le plus petit, c’était ainsi. Un immonde serpent, glissant dans les fonds marins, à l’ombre palpitante de faim. Il n’en restait qu’un corps desséché sur le rivage. Car le Jörmungandr ne peut plus reprendre sa course effrénée dans l’obscurité des océans, il ne peut plus ligoter les navires pour les embrasser de son souffle froid. Non, son museau ciselé si expressif n’était qu’un souvenir, grâce à la malice de l’Empire. Et il les dévorerait, ô, il les dévorerait pour avoir ainsi ligoté la puissance des flots !

_____________

Un pauvre reflet, une pitié pour son propre soi, une frustration de l’ordre de la malédiction.

Voilà Jor’, le regard furieux dans son reflet, un regard qui ne se rend pas, son casque masquant son visage. Il ne reste de la furieuse créature que son ombre. Un cadavre humanoïde aux enjambées fulminantes et aux gestes absents d’hésitations. Noir, noir, aussi noir que ses écailles disparues, l’armure enveloppe son corps pour sa propre protection.

Ses poings sont fermés, pour contenir ce qui le dévore de l’intérieur, cette rancune, cette rancœur. Les gants couinent autant que ses bottes de cuir, le casque ne permet aucunement de voir ses réactions. Un sifflement sourd, une voix rauque sont les deux seules choses qui s’en échappent. Longiligne silhouette, le saurien glisse comme lorsqu’il était grandiose, du haut de son mètre quatre-vingt-six. Et il s’exècre d’être si minuscule, si… Humain.

La cape le protège du soleil et de la sécheresse, autant que l’armure imperméable. Il ressemble à un spectre, il n’a rien à leurs envier. Son âme est pourrie jusqu’à la moelle par une idée, son corps est le reflet de son existence. Un serpent, à la musculature noueuse, à la peau trop pâle, parcourue de blessures aussi vieilles que récentes. Jor’ n’a rien de beau, Jor’ n’est qu’un frisson de rage et de rancune.

Il ressemble à un mort qui marche. Car Jor’ n’avait pas réussi sa conversion humanoïde, les écailles parcourent son dos, noires comme la nuit, autant que ses avant-bras. Des boursouflures étranges apparaissent ci et là, les cristaux n’arrivant à trouver leurs justes places sur cette épiderme trop fine. Et c’est douloureux, sous le soleil, dans la sécheresse. L’armure noire le protège de la souffrance, humidifiant ce corps incapable de choisir entre la lande terrestre et aquatique, entre respirer l’air et survivre dans l’eau. Il est devenu fragile, la chose qu’il exècre le plus au monde.

Sous le casque, un visage long, aux traits anguleux, sauriens. Ses yeux, il les a gardés, les yeux d’une bête endormie sous l’eau, affamée. Ils percent les carapaces, d’un mordoré froid et dur, animés d’un incendie glacé.  Ses lèvres sont charnues, et le souvenir d’un vieil ami parcourt son visage en diagonale, une cicatrice que les écailles ont remplies. Une vieille griffure partant du bas de sa joue, brisant son nez de faucon, elle s’arrêtait entre ses deux yeux, la vile, rappelant sa défaite cuisante.

Ses cheveux mi-longs glissent sur ses épaules, d’un noir d’encre, désordonnés et cachant soigneusement la lame de fond composant son faciès. Il préfère le masque au visage, il préfère l’armure à ce corps blanchâtre, incapable de voguer entre les eaux… Incapable de s’échapper de cette coque qui grouillerait d’asticots autant que les autres. Il brûle de l’intérieur, il veut s’extirper, mais il sait qu’il lui faut rester ce chien fragile, pour son but.

Pour la retrouver. Pour la dévorer. Parce qu'elle était à lui.

CARACTERE
Pauvre fou. Ignoble traître. Malédiction putride. Homme maudit ! Qu’on a hurlé, toujours les mêmes, toujours les braves, toujours ceux prêts à brandir leurs lames avec courage. Le sang coule sur leurs lèvres, l’odeur lui vient aux narines, et leurs yeux s’écarquillent, de colère, de rage, d’impuissance. Ils le jurent par l’ignominie, ils jurent de devenir fantômes pour mieux le hanter. Seulement, tous ces mots, toutes ces phrases n’affectent rien. Ils se trompent. Il n’est pas humain.

Jor’ a toujours été pourvu d’un talent pour l’immondice et le supplice. Il a toujours apprécié voir le désespoir, la peur, et surtout l’espoir de survivre. Car il n’y avait rien de mieux que de le briser à néant. Il a bien essayé la pitié, le calme et la vie. Cela ne lui est jamais allé. Ca gronde en lui, depuis toujours, sous ses écailles, plus encore maintenant. Ca griffe sa cervelle, ça susurre ce poison. Il a besoin de frapper en premier, il a besoin de faire mal.

Sa folie a décuplé, avec le temps, avec sa fragilité. Car il n’y avait rien de pire que de rendre un être narcisse prompt à la mégalomanie, infime. Frustration, rancœur, terreur, et enfin peur. Cette peur qu’il avait pour habitude d’insuffler, il la ressentait… Et la rage alors prend place, grignotant sa raison. La folie susurre. Le Jörmungandr avait toujours été un fléau, mais un fléau qui n’opérait que de sa tanière, pour s’amuser, pour se protéger des croyants voulant son sang… Jor’ n’a plus cette raison. Il n’y a que fureur et vengeance. Il veut tous les dévorer, tout massacrer, pour oublier le sentiment même qui le ronge. La peur.

Pourtant, le silence prend place. Seul règne son souffle long et sifflant. Ses mots sont sinueux, et à chaque situation sa réaction. Malin, persifflant siffleur susurrant salvation. Il semble si sage, et il ne trompe personne. On sait qu’il gronde, on sait qui le contient, on sait qu’il faut le contenir. Ses mots cachent ses émotions, ils sont là pour poser un masque. Pourtant, il n’est que damnation. On le sait, et certains aiment la répandre, certains savent l’effet d’une putréfaction sur le vivant. Certains adulent cette destruction acharnée qui règne en ses veines.

Jor’ sait se glisser entre les âmes, Jor’ aime dénoter les faiblesses pour jouer les cordes sensibles. S’il ne peut plus anéantir de sa puissance, alors il le fera malgré tout, petit à petit. Il joue le doute, il joue le mensonge avec aisance, il charme de sa voix grave. Car s'il hait son corps humain, il l'utilise pour toutes ses finalités, à séduire, à blesser, à rentrer sous la peau. Il n’est rien d’autre que pourriture. Et lors qu’on l’attrape ? Il se met à genou, il prêche loyauté et pardon. Alors qu’au fond de son cœur, l’hypocrisie et la rage règnent en maîtresses, avec en amants l'orgueil et le vice. Elles le rendent fou à lier. Ils le poussent à tout étouffer.

Dévorer, attaquer, tout ce que l’Empire lui a laissé. Il se défoule, de sa violence à la hauteur de son lunatisme. Il frappe encore et encore, il anéantit l’âme avant le corps. Jor’ se complaît dans le sang, mais sa rage ne s’amenuise jamais. Sa colère ne se fatigue pas. Car il se trompe de destinataire. C’est l’Empire, c’est les Impériaux. Il ne supporte plus les ordres, il ne supporte plus l'esclavage, il ne supporte plus d'être traité tel un moins que rien et non tel un puissant ! Pas encore, lui susurre sa tendre ombre. N’oublie pas.

Il n’est qu’une créature. Il a besoin de rester sur Terre, pour la trouver. Le Jörmungandr a toujours été focalisé sur des objectifs bien particuliers, toute sa conscience sur ceux-ci, toute son âme et ses crocs pour obtenir ce qu’il veut. Le serpent de Midgard est un être affamé de nature, d’absolument tout. Ce qu’il veut, il veut l’obtenir à tout prix, toute vie, toute action. Un antipathique fini dont le seul but est d’arriver à ses faims. Et elle, elle est une de ses faims. Dans son corps, dans ses écailles, dans sa chair et son sang. Il l’aura, et sa folie le ronge. Car un être aussi immense, avec une passion aussi décadente, ne peut pas être contenu en un simple corps humain. Il la veut. Il la sent. Il rêve d’elle. Elle est la laisse utilisée par l’Empire. Elle. La sienne. Il la dévorera jusqu’à la moelle.

Jor’ n’est qu’un serpent, dans toute sa splendeur humaine. Un serpent mégalomane qui ne juge que par sa grandeur passée pour ne plus voir sa peur. Un être égocentrique, égoïste, jaloux, malade, possessif, boudeur, rancunier, qui n’a jamais jugé autrement que par sa gourmandise, sa mégalomanie. Jor’ n’est qu’un cracheur, un siffleur, un poison, un être malsain, dont la peur juge les actes autant que le besoin d’obtenir sans considération aucune. Non. Jor’ n’est pas un humain.

Il n’est qu’un être pathétique.

HISTOIRE
An 410

Les années avaient passés sur son visage, autant que les vagues sur ses mains. L’écume avait laissé ses traces, sur son corps et ses pensées fugaces. Le sel avait entaillé sa peau, et le soleil brûlé ses yeux. Il ne restait du marin que quelques verves brumes. Pourtant, aussi folles étaient ses histoires, aussi enraillée était sa voix, il n’était de plus fascinant que ses histoires.

Il avait tout raconté, des Anciens Dieux, des Cristaux au monde englouti. Ses mains grinçaient sous ses gestes vifs. Et alors, sous ses vieilles manches qui se balançaient ci et là, on apercevait les peurs dans les morsures, les douleurs dans les brûlures… Conteur était la fin de son chemin, son prénom oublié. La fantaisie et la candeur d’une enfance qui a survécu à l’adulte, animaient ses iris voilées. Ses dents manquaient, autant qu’une oreille. Il aurait pu faire peur, si sa verve n’était de la plus belle fantaisie. Il n’était ni sirène, ni démon, ni ange. Il n’était qu’un vieillard aux espoirs indémontables, et aux croyances immaculées. Rien n’avait réussi à anéantir ce vieil enfant, car il était impossible d’atteindre le plus simple des êtres.

Début et Fin, Roi fou, Phoenix, Griffon, Constellation et Grande Dévoreuse, il connaissait tout du passé d’avant, de l’impossible effrayant les cœurs, et de la beauté dans la laideur. On l’écoutait, sourire aux lèvres, car il était ce qu’on anéantissait en notre tréfond.

« Tu n’as jamais raconté comment tu as perdu la vue, vieil homme. » demanda un sceptique. « Le phœnix lui-même l’aurait-il dévoré ? »

Aussi blancs étaient ses yeux, on aurait pu croire qu’une parcelle de malice les animait, ses lèvres gercées pourtant désertes de sourire.

« Non mon cher. Mais me croirais-tu si je te disais que je suis reconnaissant de l’avoir perdu ? »

Les enfants s’écrièrent. Ils voulaient connaître cette nouvelle histoire, les adultes s’étonnèrent. Le conteur secoua la tête.

« Ce n’est pas une histoire à raconter près de l’océan. »
« On est dans le désert. »

Le souffle chaud atteint son épiderme, l’odeur du sable semblait celle du sel. Il se mit à rire. Pauvre homme, se croyant dans le saphir dans l’ombre d’un rubis. Un silence suivit cet éclat de vie, bien plus éloquent que la moindre des synopsis. Il fixa son petit public sans le voir. Puis il commença, en parlant de la naissance.

Lorsque les Anciens Dieux virent le jour, Obscural prit forme et amena chaos sur leur création. Il vint alors de lui, les créatures des Ténèbres. Mais la Corruption avait, en ruinant la forme d’Aquaros, crée un être mythique bien distordu. Du trou béant de l’Eau, naquit un être infime, serpentin, aux yeux perçants, ne cessant de grandir à vue d’oeil. Il ne fut aucun doute sur son origine, et Aquaros prit la décision de le jeter dans l’océan. Car dans un univers de cristaux sans fin, le saurien n’aurait fait que grandir jusqu’à tout étouffer entre ses anneaux.

Seulement, en le jetant dans l’océan de notre univers, le serpent ne fit que grandir, toujours et encore. Jusqu’au point où sa tête pouvait mordre sa queue.

« Ce serpent se nomme Jörmungandr. Sous ses anneaux vivent les vagues, et dans ses yeux brûlent les hommes. Il prenait plaisir à voguer sous les navires, les faire chavirer pour mieux engloutir ! Je l’ai vu de mes yeux vus, son regard jaune dans le mien trop bleu. J’ai perdu ce sens en échange de ma vie, car il me transperça de toutes parts de ses iris de créature impie. Mon bateau n’était qu’écorce, mes compagnons toujours tombant dans son corps bien long... Et je suis reconnaissant oui, car j'aurais pu vieillir comme eux dans l'obscurité de son gosier, et le sifflement de sa langue. »

Ses mots n’étaient que lames, lapidant les cœurs d’enfants effrayés. Les adultes les protégèrent d’une histoire sans fond, mais dont les abysses remplissaient de peur les cœurs des nourrissons. Il ne restait du public plus que le conteur, qui étira un sourire face à son malheur. Les humains n’aimaient pas ce qui était gris, ils préféraient l’utopie à l’impuissance. Ils préféraient la chaleur des plumes du phœnix aux crocs ignobles des serpents tapis dans les mers.

Le vieil homme fit face au désert. Il se remémora chaque écaille, chaque hurlement, chaque vague vibrante. Il se rappela son périple, plus loin, plus loin de l’océan que possible. Pourtant, ce dernier l’appelait, empli de ses rêves de jeune homme. Il étira un sourire navré, et s’excusa envers lui-même. Car un monstre sans humanité avait réussi à briser le plus beau de ses rêves.

Sa voix se fit douce dans la brise, tandis que la seule trace du serpent se récitait dans la nuit, sans oreille pour écouter ce conte impie.  

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Under the tides and moonlit vistas
Is a world draped in blue
A King reigns supreme on his throne
One day he will call on you
Thought of as myth by the Beings
He coils around the earth
Seeking our destruction
To bring about a new rebirth

The great snake, Jörmungandr
The coming of the tide
At the bottom his still slithers
Among the moaning sighs
Ships of men have witnessed death
Inside his mighty jaws
They were lucky
That they did not also fall

Great snake
Midgard Serpent
Keep me from your tides
Great snake
The World Serpent
May the fog
Hide me from your eyes

Some say I have taken too much mead
That the beast couldn’t exist
But I have seen with sober eyes
The charms I could not resist
He lures you into his grasp
To crush your life away
Steel is no match for the godless snake
He will take the day

Great snake
Midgard Serpent
Keep me from you tides
Great snake
The World Serpent
Will it please
You to hear my cries?

All Father!
Where are you
In my hour of need?
Please help me!
The snake’s grasp
I can no longer breathe…

Then the snakes sinks back below
Sated for now
Just to coil in our fears
No burial shrouds
Buried at sea within His stomach
Swimming in bile
The godless serpent will rise again
And spread his most vile

Men will tell stories of the beast
Within their dens
Free from the sea wrathful gaze
They’ll take their pens
Write a chant to the ocean gods
That will raise a hair
The gods listen with scorn
To the prayers

Great snake
Midgard Serpent
Keep me from your tides
Great snake
The World Serpent
May the fog
Hide me from your eyes

Ecrit par HadesRising

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Début - An 0

Fhaedren, l’océan l’entoure, gonflant, ramant, vomissant sa misère aux quatre vents. L’obscurité de l’eau éteint cette lumière dans sa gueule marine, mais le sel n’a pas réussi à ronger le plus précieux de ses bijoux. La source magique est si belle, convoitée, protégée par un mutisme d’écailles et de peaux. Mais il fut un temps, des centaines d’années de cela, où un corps monstrueux entourait de possessivité la lumière.

Jörmungandr a toujours été seul, comme toute créature mythologique d’ailleurs. Depuis le début, il errait dans les océans, avant même l’arrivée de Razgriz. Depuis le début, il s’en prenait aux navires cherchant une partie de son corps pour l’entailler et obtenir son sang. Peut-être par accident, peut-être par le murmure des poissons intelligents, l’Homme avait appris l’existence de cette hémoglobine précieuse.

Mais rares étaient ceux pouvant l’obtenir, encore plus rares ceux survivants à cette confrontation. L’ancien royaume sombrerait dans la folie, et l’ancien Roi dans le désespoir. Tout cela ne faisait qu’arranger un géant, dont l’objectif n’avait rien de positif. A quoi bon s’en faire pour une race qui n’était la sienne ?

Les seuls qu’il ne dévorait avec la plus grande avidité étaient les sirènes et leurs homologues masculins. Ô, il ne venait jamais près d’Atlantys, il ne se portait jamais garant d’un titre de protecteur. Car on savait tous la nature lunatique et chaotique du serpent de Midgard. Obscural avait laissé sa trace dans les eaux, dans les algues, dans son corps créant tempête sous les vagues.

Ceux qui ne trouvaient leur place dans Atlantys, les rebuts comme les fous, les tueurs comme les fuyards, la noirceur même prenant aux cœurs, les amenait à ce serpent dans sa tanière. Car son corps long possédait un métabolisme très lent, qui le faisait s’endormir tous les cinquante ans. Les plus malheureux le réveillant de cet état de repos se retrouvaient à vieillir entre ses crocs. Seulement, les années passaient, et le saurien avait besoin d’air. Par la magie des cristaux, ses protégés prenaient l’air du monde terrestre, et revenaient au fond de l’océan pour l’offrir aux cristaux compensant le corps du Mythe. La nature était si pratique et belle.

Lorsque Fhaedren tomba, l’animal fustigea, gronda, perla, et s’endormit. Bien plus que cinquante ans, car lui qui voulait atteindre un monde de cristaux, d’infini et de corruption, se fit détruire par la ressource même qu’il convoitait. Les retombées de la chute du pays et de la surexploitation des cristaux, se termina en un désordre total, résultant en un serpent reposant dans l’océan, autour de la source magique - par idée vorace d'obtenir sa puissance - après s'être pris une explosion magique en pleine gueule. Il n’était pas mort non, pourtant son corps se recouvrait de cendres volcaniques et de sédiments. Le sable eut raison de lui durant deux cent ans, autant que le monolithe vrillant son esprit, transformant son orgueil en la pire des mégalomanies. Car son corps avait beau filtré les effets néfastes des cristaux, cette magie-là était trop grande. Elle l'empoisonnait, elle le pourrissait.

Jörmungandr s’endormit, géant d’écailles instable, sombre ombre dont il ne resta que quelques rares écrits dans Fhaedren, racontant son existence et ses spécificités naturelles. Non. Jörmungandr n’était qu’un point oublié du passé, de l’ancien royaume.

Le plus fascinant dans cette histoire ; ce fut le plus infime des êtres qui le réveilla de ce long sommeil. Et le souffle sifflant du monstre fit vrombir à nouveau l'écume.

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An 204 - An 310

Ses muscles avaient beau être enlisés par le temps et l’immobilité, ses écailles firent glisser les sédiments de son long corps. Les cristaux immaculés s’animèrent, vrillèrent autant que son œil qui enfin, se laissa découvrir de sa paupière serpentine. Quelqu'un l’avait réveillé, mais la première chose dont il eut besoin, fut de respirer.

En un mouvement si brusque qu’il en fit vriller la terre et rendit les océans violents, la gueule puante du Jörmungandr brisa l’écume en un cri retentissant. La goulée d’air parcourut son corps monstrueux, le soleil fit briller sa peau d’un noir profond, et ses anneaux dansèrent dans l’air. Il retomba dans les tourbillons qu’il avait causés, pour mieux repartir s’enrouler autour de sa source de convoitise.

Sa langue sifflante caressait le monolithe avec passion, son esprit retraçant les événements d’avant, sans se soucier des années passées. Il ressentit sa puissance, son poison, sa volonté. Celle de gober, détruire, de trouver ce qui faisait tant briller. Il était là, de nouveau dans son élément, de nouveau possesseur des océans. Mais le serpent de Midgard sentit quelque chose. Ça serpentait dans son esprit autant que dans l’eau ; Razgriz.

Ô, le Jörmungandr sentit la rage l’envahir, autant que la folie de ses années. Les océans de ce monde étaient ses propriétés chéries, et il ne pouvait y avoir deux suprématies ! Ses dents se découvrirent dans le plus horrible des sourires. Une part de son corps resta dans les abysses, protégeant la source magique, tandis que l’autre se glissait entre roches, créatures effrayées, et abysses.

Durant cent années, le serpent combattit le dragon. Durant cent années, les plaies de son assaillant se refermaient, tandis que les siennes purulaient. Le sang bouillonnait dans l’eau, les grondements et sifflements tonnaient dans l’air. La folie du saurien ne faisait que frapper encore et encore cet ennemi tant aimé. Les rumeurs reprirent, aussi terribles que les vagues puissantes résultant de leurs conflits. Et sa gueule béante s’ouvrait, pour faire face au dragon, ses anneaux cherchant à l'entraîner par le fond. Et ses yeux foudroyaient d’une rage infâme, ceux terribles de son homologue. Puis il revenait, faible, autour du monolithe, persuadé que sa puissance en grossirait sans cesse, persuadé qu’il pourrait ainsi avaler le dragon impie.

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An 310 - An 380

Les années consistaient à détruire les bateaux, dévorer, parler à ce trésor de brillance, et déchirer autant qu’il le pouvait, la chair de son ennemi juré. Mais il fut une chose que le serpent fut surpris d’apprendre, une chose qui attira son attention malsaine, une chose qui porta alors sa malédiction certaine.

Sa crête saurienne brisait la marée, les écailles coupaient les flots, et le mouvement de ses anneaux le sable des fonds. Il était loin du rivage, et aussi proche que possible, fixant les ports de ses yeux vides. Sur la crête la plus haute de toutes les falaises, aussi loin mais aussi précis que s’il la brisait entre ses muscles, elle prônait.

L’amour est un concept humain, pour ceux qui ressentent, aux cœurs battants, à l’empathie émérite. Pour les monstruosités d’Obscural, l’amour n’était plus. Pour Jörmungandr, l’amour était une malédiction envers autrui. Il se souvient de son odeur, aussi parfaite que les cristaux. Elle perçait son âme, ses veines, son gosier et ses poumons. Elle était la plus ignoble et parfaite des choses. Il ne l’avait jamais vu de plus près, elle n’était qu’un point à l’horizon et plus encore. Le serpent remua dans l’eau profonde. Il la voulait. Plus que tout. Il la voulait, partagé entre l’obtenir, la noyer, la dévorer… Ô, toute son attention était sur elle, sur cette forme ravageuse et appétissante.

Le monstre passait chaque jour près de cette falaise, partagé entre s’élancer pour la gober et ce besoin de toujours l’observer. Il inspirait une goulée d’air, apportant ce parfum qu’il reconnaîtrait entre mille. Et il ne savait toujours que faire d’elle, de ce besoin terrible de la faire sienne, dans son gosier, dans son âme, dans ses anneaux qui ne demandaient qu’à la ligoter… Il la suivait, dès qu’elle changeait de point d’ancrage, serpentant les eaux en se fiant à cette odeur, à cette vision la plus infâme et belle sur laquelle il lui avait été donné de poser son regard.

Jusqu’à ce jour. Oui. Ce jour. Ce jour où il ne sentit ni son sang pulsant dans son cœur vivace, ni l’orchidée se mélangeant à la sécheresse d’été, son parfum ne vint plus à ses naseaux, et la vision la plus incertaine et désirable disparût des côtes. Impossible. Les questions fustigèrent dans son esprit, tandis qu’il parcourait les eaux, l’œil vif près à l’attraper pour ne jamais la laisser réchapper de son regard perçant.

Non… Non !  Non ! Non ! NON.

Ses crocs se découvrirent sous l’écume créée par sa vitesse fulgurante. Son esprit vil imagina tant de situations, mais une seule frappait sa rationalité brisée par la haine et le désordre de ce qu’il avait toujours été : une bête folle. Razgriz. Il n’y avait que son ennemi juré pour tenter de lui voler ce qui lui appartenait. Il l’avait dévoré à sa place, prise à sa place, et ne s’en tirerait pas à si bon compte.

De la plus ignoble de toutes les rages qu’il avait pu subir depuis sa naissance, le Jörmungandr s’élança aveuglément sur le dragon des mers. Sans se soucier de sa mort, sans se soucier de ses crocs arrachant ses écailles et de ses éclairs brisant son âme. Ô, il n’avait qu’en tête sa possession à retrouver, quitte à l’éventrer pour la retrouver tout au fond de son gosier…

Défaite. Le sang bouillonnait dans le sel. Razgriz fit bien comprendre à son ennemi des mers qu’il n’avait la source de son infâme intérêt. Alors l’être mythologique chercha, encore, jusqu’à sentir sa trace sur les côtes, jusqu’à comprendre que la seule solution était qu’elle était à l’intérieur des terres. Il n’aurait jamais pensé prendre forme humaine, la plus simple des apparences et la plus fragile à ses yeux, pour la retrouver.

C’était la folie qui parlait, autant que la passion dévorante d’un être putride. Le mélange ne créa ni la perfection de la peau, ni l’imperfection de l’âme. Ce n’était qu’un monstre cherchant à revêtir l’humanité, une coque trop infime pour un être de noirceurs. L’écume piquait sa chair, le sang coulait de ses lèvres, sa peau se délitait par endroits pour ne laisser qu’écailles et cristaux. Le soleil noircissait sa chair et son regard… Ô son regard saurien aussi atténué fut-il, ne fit que transpercer de lames frontales les chevaliers d’Ellgard autour de lui. Et il hurla. Il hurla de tous ses poumons brûlant de cet air froid. Elle. Où est-elle avant que je ne vous dévore ?!

Le noir fût. Son corps humain le lâcha, abandonné au sable glacé.

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An 380 - Aujourd'hui

Le Jörmungandr n’était plus qu’une part de lui-même, infime, vivace de pensées assassines et de mots putréfiés. Jor’ observait alors les alentours de cette pièce qui serait bientôt partie intégrante de sa monotonie acide.

Les scientifiques d’Ellgard avaient eu vent de la propriété du sang du Jörmungandr, des années de cela. S’ils chassaient le monstre dès son réveil, attrapant le sang mélangé à l’eau de mer après les combats des titans, il n’était jamais d’une qualité exceptionnelle. Alors, en voyant la bête s’élancer peine perdue sur la plage pour mieux être réduite en un être que l’on pouvait briser en deux ; la situation était trop belle.

Jor’ fut soigné, avant d’être mis au pied du mur : les blouses blanches avaient réussi à poser un dispositif à l’animal pour qu’il ne puisse plus reprendre sa forme serpentine. Ainsi, tout était en ordre, la bête enchaînée, le chantage en place. Ils mentirent, autant que Jor’ voulu gober ces mensonges. Le chantage était simple : il servirait l’Empire pour leurs recherches, de ses mains brutales, en échange de la localisation de celle qu’il cherchait plus que tout au monde, en échange de sa forme originelle. Ils pouvaient la lui rendre en effet, mais était-ce leur volonté ? Pourquoi ne pas contrôler les écailles et les crocs ? Ce qui peut gober et détruire ? C’était aussi leur objectif ; pouvoir lui donner l’une de ses deux formes pour leur bon plaisir.

Une armure complète et légère fut confectionnée pour son état physique ; noire pour empêcher le soleil de le brûler, gardant l’humidité du corps, amenuisant drastiquement la douleur d’une enveloppe inadaptée pour Jor’. L’air était aussi filtré que la résistance améliorée en cas de coups. Elle lui permettrait de vivre sur terre, de respirer sans sentir ses poumons se noircir, de voir sans avoir ses yeux se dessécher, de détruire ce qu’on lui disait de détruire. Une cape renforçait cet attrait, gardant sa température corporelle dans une marge stable, tel un aquarium pour un poisson.  A cela il fallait ajouter des bains fréquents dans des environnements fermés pour assurer sa survie.

Des années durant, l’animal du se faire à ses chaînes, aux entraînements de chevalier, au mépris de ces êtres qu’il rêvait de déchiqueter. Mais le serpent sifflait sans mordre d’une bouchée, car il devait la retrouver… Car il avait besoin de son corps. La guerre lui permit de libérer sa frustration terrible, de penser sans trouver de quoi faire résonner son cri. Conquête lui allait si bien, car il empestait le dégoût et l’ignominie, un chien sans pattes à la botte de l’Empereur. Il avait obtenu cette réputation de soldat violent, de rage au cœur, de bras droit affamé aux gestes aussi vifs que lunatiques. Il était tout autant appelé au Ragnarok, dans la section biologique et génétique. A son armure, on savait qu’il était Jor’, à son ombre pesant, on le cauchemardait Jörmungandr.

Il n’était qu’une peau dépecée, effrayée par sa faiblesse, sa cage, sa perte, une peau dépecée soigneusement posée sur les épaules d’un Empire glacé.

DERRIERE L'ÉCRAN
PSEUDO ▬ Jabber'
AGE ▬ 24 ans !
TU NOUS A TROUVÉ OU ? ▬ Par partenaire o/
UN AUTRE COMPTE ▬ Mon compte en banque.
LE PERSONNAGE DE TON AVATAR ▬ STAR WARS ▬ Kylo Ren
TU AS LU LE RÈGLEMENT ? ▬ Non. en vrai si mais j'aime me faire flageller *montre son postérieur*
Bienvenue sur LK ! :)
La famille des Ellgardiens ne cesse de s'agrandir ♡
Bienvenue !
Hey bienvenue !
L'Empire ne cesse de croître, c'est terrifiant °°
    Wowow monsieur badass, bienvenue officiellement ici!
Merci beaucoup pour votre accueil ! Ca fait chaud au coeur ^^ ! Et oui la famille Ellgardienne s'agrandit : Bewaaaaare

*tousse* Je souhaitais tenir au courant de l'avancée de la fiche : j'ai écris le physique, le caractère et les compétences. Je ne suis pas très fière de moi mais je fais de mon mieux durant mon temps libre éè Pour l'histoire, cela prendra un peu plus de temps, étant en décalage horaire avec tout le monde et avec mon temps irl chargé (bon on a tous un irl chargé donc ce n'est pas une super excuse). Néanmoins je fais de mon mieux pour pondre un truc décent !

Merci encore de vos bienvenus et bisous sur vos fesses gauches ~
Mythologique Jörmungandr, mythologique Nídhögg.
Faisons quelque chose de grand. Mangeons le monde ensembe. Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 3622086245

Bienvenue officiellement, un plaisir de lire ce -début de- personnage ! J'ai hâte de voir ce que ça va donner, n'hésite surtout pas si tu as la moindre question ou si tu rencontres un problème !

Au plaisir :D
Merci chère comparse de mythologie hoho, ça fait plaisir de te voir, j'ai beaucoup aimé ta fiche ! oui je l'ai lu non ne fuis pas je ne stalke qu'un peu promis

J'ai écrit le début de l'histoire, et je suis touchée que tu apprécies ce que j'ai déjà écrit ! Je vais te mp bientôt, car comme tu le dis, mangeons le monde ensemble 8)
Hello ! Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 1786526449
Au vu de mon obsession particulièrement malsaine pour Kylo Ren, il est naturel que je vienne te souhaiter la bienvenue.
Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 3622086245
Je me rends compte avec horreur que je n'ai pas souhaité la bienvenue Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 2364450196

Le début est vraiment super cool, et t'écris vraiment bien alors au travail on a hâte de voir la suite Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 943054502
Malgré mon aversion pour Ellgard bienvenue gros serpent de mer, on compte sur toi pour venir aider à la révolte d'Atlantys contre l'oppression Akanthienne Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 3622086245
L'obsession malsaine pour Kylo Ren, nous la partageons, aimons-nous Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 3622086245 Et t'inquiète Sieg', je sais que tu m'apprécies quand même /paf/ Oh vil flatteur Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 1725469957 Hazel, oui monsieur, au rapport ! Je viendrais, c'est promis Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 3018682352

Bon du coup j'ai terminé ma fiche ! J'espère que ça ira éè J'ai postulé pour Bras Droit de COnquête même si je ne suis pas sûre si ça passe ? Enfin bref, bonne lecture !
Le Staff passe te lire rapidement (et aucune raison que cela ne passe pas mon gros serpent des mers Qui expellit dolor humano fieri bestiam || Jor' R. Hallvaror [terminée] 3622086245)
C'est dans la boîte !
Comme on se retrouve mon gros serpent d'amour. Et je te félicite,
parce que tu es officiellement validé ! *lance des paillettes et des pierres qui brillent*

TEMPS FORTS Ҩ Tu as une plume superbe et c'est un délice de te lire. Jor' est un personnage super intéressant, malsain à souhait comme on les aime et malgré tout suffisamment profond pour être réellement intéressant. J'ai vraiment hâte de voir comment il va évoluer -et surtout s'il va manger tous ces méchants d'Ellgard. Ce serait sympa. *lève le pouce*

REMARQUES Ҩ Conquête étant actuellement un poste à pourvoir, ça risque d'être un peu compliqué pour toi de jouer avec, malheureusement :/. Mais je ne doute pas que tu arriveras quand même à trouver des choses à faire et plein de partenaires intéressés !

Sur ces mots, je te redirige vers la fiche personnage, désormais obligatoire afin de conserver une trace de ton évolution. Je te souhaite de te plaire parmi nous, et puisses-tu dévorer plein de gens éternellement !