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Lost Kingdom  :: Nueva :: La Capitale - Lelanaserine, cité des sages

To the tree world until the harpers harped | ft. Dahlia | nc-18 | terminé

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errance
ft. Dahlia
the witch

Attirer la mort, elle avait plutôt le don de se trouver en ton sillage pour ceux qui était justiciable même si bien souvent tu lui disais non même si bien souvent tu lui interdisais de poser ses doigts sur un coupable. La fameuse sentence de la peine de mort, cela faisait quelque temps que tu ne l'avais prononcée en dehors de mages noirs, pour le reste tu te contentais d'emprisonnements ou d’exils avec un certain encadrement tandis que tu voulais faire au moins progresser les conditions de vie des prisonniers. Au fur et à mesure que les années avançaient, au fur et à mesure que les siècles s'écoulaient il fallait bien qu'en parallèle la loi, la justice s'y adapte et poursuive les requêtes sociétales. Bien des choses étaient liées en ce bas monde et se devaient de progresser ensemble, de toutes les vertus tu devais être seule la plus préoccupé autant de par le culte lié à ce que tu représentais que la politique et le fonctionnement en lui même de Mearian. Un baiser s'écrasant tantôt te ramenant à la réalité alors que tu n'éprouvais que très peu de considération pour la mort de par ton statut et la jeunesse de la Spectre à tes côtés, elle avait encore de belles années devant elle, tout juste trentenaire encore fraîche comme on aurait pu vulgairement le dire.

Ainsi tu lui offrais une oreille attentive tandis que l'une de tes mains se baladait auprès de son enveloppe charnelle, voguant selon ton envie auprès de son épaule, son bras et enfin son ventre puis ses hanches. Pensif alors que ta précédente parole avait été à moitié un mensonge, alors que tu avais prévu de tout simplement travailler pour toi et tes intérêts ni plus ni moins. Tout ceci tu le faisais avec une idée derrière mais que tu ne pouvais révéler à grand monde voir même à d'autres seraph trop bornés en leur vision des choses là où tu concevais que même parmi les vingt et un dont tu faisais parti un grand nombreux d'entre eux étaient sur la voie de la corruption, les vertus bien trop sensibles ou sanguinaires, dures. Tu fus cependant bien plus attentif à la suite de ses propos, elle semblait être au courant de cette fameuse rencontre entre l'Empire et Akantha. Elle était mariée à un Castelmore ou du moins une personne de la famille du comte, la nouvelle avait rapidement fait le tour de tous les pays à croire que la cour du roi et les bureaux administratifs d'Ellgard se rapprochaient du lit de la personne actuellement assise sur le trône du pays ardent. La question de Dahlia te paressait naïve pour une femme de sa réflexion.

« - Bien sûr que Mearian enverra des ambassadeurs et des archmagisters, Akantha est un allié alors l'intérêt de Mearian sera de rappeler leur statut à Ellgard, si accord est pris il devra être établi entre Akantha et Mearian d'abord à moins d'un parjure. »

Un léger haussement des yeux, soupirant tu rajoutas ce léger détail.

« - Même si je doute de la parole du roi d'Akantha rien qu'en connaissant les histoires sur lui et sa personnalité. Nueva quant à elle a intérêt à faire durer la guerre si elle doit avoir lien pour vendre armes, équipements et autres sachant qu'ils seront sûrement les suivants si Mearian tombe, l'Empire ne va pas se plier à des accords commerciaux lorsqu'il il peut s'emparer de terres fertiles. »

Elle ne tarda à parler de nouveau de cette guerre de façon plus prononcée, les champs de bataille et tout ca. Tu allais y participer autant sous forme humaine que sous forme seraphique si cela s'avérait nécessaire pour rééquilibrer la balance. Avoir un seraph sur le terrain n'avait jamais été négligeable autant en escarmouches qu'en conflits ouverts. Tu la trouvais peut être pessimiste, broyant du noir quoi que elle avait toujours eu des fascinations morbides, une vision tout sauf joyeuse sur certaines choses. Tu la laissas dès lors trouver ta main lui rétorquant ceci.

« - J'irai au champ de bataille mais j'ai survécu et gagné bien des duels judiciaires et autres alors je serais dans mon élément en quelque sorte mais toi tu feras quoi pour ton entreprise ? »




Lelanaserine la capitale de Nueva ;
septembre de l'an de terreur quatre cent dix-sept

Ces mots sont évasifs à ses yeux, comme si quelque chose se trammait et dont elle ne pouvait pas être mise au courrant. Dahlia avait beau avoir ses entrées à la cour des cendres et chez les mages noirs, elle ne devait pas avoir autant d'informations que celle qu'Olieron pouvait avoir à l'Ordre des Astres. Son derme réagit à ses doigts, les poils de sa peau s'hérissent, jetant un coup d'oeil à sa main qui se balade sur son derme. Ses iris suivent le parcours qu'il effectue, allant de son bras, à son ventre en s'échouant sur ses hanches. Sa voix se fait étrange, elle serait même à dire que le sarcasme se trouve non loin de ses lèvres et de son regard qui se prolonge dans le ciel. Je m'en doute Olieron, mais je me demandais, si tu allais faire partie de la délégation de Mearian lors de la rencontre. Ni plus ni moins... Allait-elle donc à dire le fond de sa pensée, avant de se faire attaquer par un sarcasme, ou bien pire. Chose qui mettrait à mal la situation et l'ambiance de ses lieux.

Pourtant ses propos révéler quelque chose d'aussi inquiétant, et dont elle se doutait, mais ne voulait pas y croire. Pire qu'une guerre qui oppose deux camps d’alliés, une guerre qui se base sur différents camps. Sa nation contre la sienne. Soupire s'échappe de ses lippes. Faire durer la guerre... Cela serait une catastrophe... Non pas pour les différents camps, mais pour ceux qui en subirons les revers, qui se trouveront sur les champs de bétails, qui verront ce qui leur appartient se retrouver détruit pour la folie et la mégalomanie des hommes. Non, uniquement des rois et des empereurs. Je te demande de me revenir entier et vivant. Petite précisions faite, pour s'assurer qu'il ne s'amuse pas à lui revenir main ou pied en moins, cicatrice s'additionnant à sa chair.

「Qu'ils sortent.
Indèmes.
Des champs de batailles.」

Main s'alliant à la sienne, La Corriveau posait sa tête sur l'herbe humide, laissant la rosée lui rafraîchir la nuque. Ses lèvres s'humectent. Tout dépend de beaucoup chose. Si Akantha est le champ de bataille la ruine m'attends, s'il a lieu ailleurs je pourrais espérer survivre et de ne pas finir totalement ruinée. Même s'il est vrai que la fin la guerre, après avoir laissé son carnage derrière elle. Je pourrais peut-être prospérer et retrouver une certaine liberté financière, comme lorsque l'on c'était rencontré. Son nez se fronce, elle n'arrive pas à se faire à l'idée que la guerre est proche, qu'un seul et les combats éclateront.

La spectre amenait sa main à sa bouche, apposant un baiser, long, et la cajola dans la sienne contre son cœur. Ses jambes s'enroulant autour des siennes. Mais je ne souhaite pas la guerre. Je serais plus heureuse à continuer à vivre dans cette tension palpable tout le long de nos vies. Une pression s'effectue un peu plus forte. J'ai peur qu'elle nous sépare, ou pire. A moins que la séparation soit pire que la mort. Dans son cas, la mort n'était pas un soucis, mais la séparation resterait à jamais, dans ce corps là où le suivait. Elle l'aimerait encore, mais comment lui faire comprendre qu'elle est quelque chose d'horrible et de monstrueux. La Corriveau est une abomination sans nom, inconnue aux yeux des hommes.








errance
ft. Dahlia
the witch

La délégation de Mearian, tu ne pouvais qu'en faire partie, c'était incontournable même de par ton statut de seraph doublé de la fausse identité d'un ambassadeur tu comptais même marchander avec lui ou plutôt lui imposer le fait que tu allais parler en son nom et surtout en ton nom concernant cette guerre et autres. Tu voulais même faire entendre ta voix jusqu'à un rire point, tu voulais la faire primer même sur celle d'autre seraph et rompre ce pied d'égalité qui fut institué il y a des siècles. Tu considérais avoir bien plus de cartes en main que la majorité de tes frères, tu considérais de par ton statut celui d'un seraph que ton rang de guerrier et de juge bienveillant t'offrait une meilleure vision de ce conflit. Tu connaissais bien plus la souffrance des hommes à la guerre que des semblables qui se pavanaient en la cité sans avoir à défendre comme le faisait Désir de par le passé ou bienveillance et surtout plus que tout l'expérience primait, ce corps que tu n'avais jamais eu à changer primait sur bien des aspects. Toi aussi tu ne voulais faire durer la guerre mais cela allait être impossible, tu voyais mal Ellgard renoncer à l'ensemble de ses avancées technologiques déviantes tel que leurs androïdes, leurs automatas ou encore ces psyphers. Ils se dirigeaient en une perfidie proche de celle d'Ephraïm tel qu'il avait pu être décrit en ses derniers mois avant le cataclysme.

Elle ne cessait de broyer du noir cependant, ramenant encore et encore ce sujet déplaisant, certes inévitable mais déplaisant. Tu savais que malgré ce qu'elle disait elle arrivera toujours à trouver une issue, un moyen de s'en sortir contrairement à la dépendance qu'elle avait vis à vis de toi tu la savais grandement indépendante. Tu te redressas quelque peu dès sur tes coudes afin de la décrire allongée en cet herbe. Tu te permis ce commentaire face à tout ceci sur un ton des plus taquins.

« - C'est fou ce que tu peux être négative, il existe toujours un moyen de s'en sortir puis le roi d'Akantha ne voudrait pas de la guerre sur son territoire, il aurait bien du mal à organiser ses soirées déviantes tout en tenant des conseillers militaires de par les batailles à la porte de sa capitale. »

Haussant doucement les épaules tu te rapprochas dès lors doucement dès lors d'elle la décrivant de façon quelque peu plus prononcée, un tant soit peu carnassier à ton tour même si ce n'était pas la première fois qu'elle avait pu apprécier cette étincelle en tes iris brunes. Tu te permis une nouvelle remarque à son attention ramenant en même temps doucement mais sûrement l'un de ses doigts auprès de ton enveloppe charnelle pour effleurer l'une de tes cicatrices.

« - Tu serais jalouse de la guerre à savoir que celle-ci pourrait me marquer définitivement alors que tu n'as eu le don jusqu'ici que de m'imposer quelques rougeurs de par des griffures ? »

Tu te déplaças dès lors vers elle dévorant définitivement l'espace qui vous séparait, prenant place juste au dessus d'elle, entre ses cuisses alors que tes mains vinrent se saisir de ses hanches, la captivant envieusement, jalousement. Tu ne t'étais point fait prier pour doucement murmurer ceci sur ton un tant soit peu suave.

« - Tu ne devrais pas plus te tracasser concernant le futur et savourer le présent. On a encore de très longues heures avant que le soleil se lève et Morphée est encore très loin en mon cas. »

C'est ainsi que tes phalanges ne tardèrent à s'aventurer en d'autres parcelles de sa chair en des gestes tout sauf ampli de chasteté, gratifiant de caresses sa chute de reins, le galbe de ses cuisses que tu t'amusais à ramener auprès de ton bassin, l'invitant à ce qu'elle te fasse prisonnier de sa personne tandis que tes doigts se montrèrent même curieux en ces formes juste au dessus de son nombril. Tu avais lié tout ceci à un baiser que tu coupas à contre cœur alors que tu t'amusas une nouvelle fois à prendre la parole, ta tact liée à la sienne alors que tu l'avais conduite au niveau de tes abdominaux, la faisant lentement descendre tout en restant en des frontières acceptables de par votre relation même si tu frôlais avec des restrictions plus intimes.

« - On m'a toujours dit de profiter de l'instant présent. »