Il existait un temps où l’univers me semblait simple. Il existait un temps où je pouvais fièrement dire que tout me souriait et que je vivais comme je l’entendais. Avant que je ne sois un soldat, ou que je ne sois un terroriste, un fugitif, et un gourgandin avant tout cela j’étais Luci. Un simple tueur à gage. J’avais ma petite renommée dans le monde de l’assassinat et mes services se vendaient bien sur le marché noir. Je vivais du meurtre et de la prostitution, deux profession avec comme seul rapport qu’on est souvent emmené à baigner dans des fluides. Je me plaisais à mener mon petit chemin de vagabond sans me soucier de ce que pouvait penser les autres, je me fichais des avis des vieux médisants, je me fichais des avis des pisseuse à peine sorti du cocon avec une cuillère en argent dans le cul, je me fichais de tout comme de tout le monde. S’en foutre … C’est peut-être ça la vraie définition de la liberté non ? Maintenant il ne reste pas grand-chose, que des reliques tout au plus de cette belle liberté, et futur mourant que j’étais, je savais au plus profond de moi que j’avais abandonné là les plus belles années de ma vie. Et c’est donc avec ton un peu mélancolique que je viens vous raconter cette histoire
Elle prend place à Ellgard, il y a bien bien longtemps. J’étais encore un môme, tapant difficilement la douzaine. J’avais déjà éclaté la salle tronche de toute ma famille à cette époque-là, et je survivais en remplissant des contrats, un peu à droite, un peu à gauche. Des meurtres à la sauvette généralement … A la sauvette c’est une manière plutôt agréable de vous faire entendre que je me comportais comme une véritable petite pute pour buter mes cibles. Se fut à cette période de ma vie que je pris goût véritablement aux carnages, aux effusions de sangs et aux carnages carmins. Le plaisir de sentir ses griffes déchiraient la chair, voir les êtres suppliés alors que mes doigts viennent caresser les yeux de mes victimes avant de les arracher. J’aime voir la peur dans les yeux de mes victimes alors que mon sperme cherche à féconder leur pupille. Je suis vicieux, et bien fier de l’être. Si quelqu’un cherchait un travail très brutal, peu professionnel, et accompagné d’heures de tortures il venait s’adresser à moi.
J’étais explosif, j’étais le meilleur, sans aucun doute, ou plutôt, je n’avais encore jamais rencontré ce doute. Mais vous savez bien ce qu’on dit, on ne connait son ennemi qu’une fois qu’il nous a brisé, on ne connait ses amis, qu’une fois qu’il nous ont abandonné. Alors laissez moi vous raconter l’histoire de ma rencontre avec la Bête.
Les yeux rivés sur le plafond crasseux je venais bouger lentement mes reins sur le sexe dur d’un vieux croulant. Il se plaisait à me faire saigner, mais là où je ne lui plaisais plus vraiment c’était quand je ne couinais pas. Je n’avais pas mal, pas pour si peu c’était sûr, j’avais rencontré bien obstacles pour mon jeune âge, mais une chose que je m’étais toujours refusé à faire c’était pleuré sous les désirs immoraux des hauts Ellgardien. Ils étaient tous pourris jusqu’à la moelle, ils étaient immondes, mais ils me permettaient de gagner mon pain et mon beurre, je devais bien le reconnaître. Enfin mon pain et les divers liquides qui pouvaient l’accompagner. A la fin de sa séance, il vint caresser ma joue. Ses doigts étaient ensanglantés, noircis par ses ébats, mon souffle encore court, il caressait mes cheveux avec ce sourire lubrique, ce regard empli de vices. Je le détestais, il le savait, mais un chien ne mord pas la main qui le nourrit. Voilà pourquoi je subissais toutes ces conneries, c’était là bien mon unique raison de souffrir cette mauvaise comédie.
Mais alors que je m’attendais à un énième viol de ma petite personne il vint sortir un petit papier de sa poche. Sur le papier il avait inscrit un nom, des habitudes, et une tête. Il s’agissait d’un noble d’Akantha qui était venu faire un petit passage pour son business. Aha, un recéleur d’esclaves. Cela me fit sourire, puisque j’allais enfin pouvoir me défouler sur un être des plus méprisables. Quelqu’un qui méritait de mourir. Non pas que j’étais réellement regardant sur qui méritait ou non de mourir, puisque je n’étais rien de plus qu’un gentil chien, mais ça me faisait plaisir ce genre de contrat. Astiquant mon fusil de précision et mes griffes une dernière fois, je vins me préparer pour mon contrat. J’étais encore un gamin, mais quand j’étais prêt à tuer, quand j’étais à faire regretter votre mère de ne pas vous avoir avorté, j’étais pas très bon croiser.
Un petit haillon en guise de vêtements, je m’étais posté sur un toit d’immeuble. L’immeuble était positionné à 150 mètres de l’hôtel dans lequel il résidait. Une distance idéale pour un job aussi simple que voler une sucette à une enfant. C’était un contrat simple, il n’y avait que deux gardes pour l’accompagner qui occupait les chambres à côté de celle de la target. La respiration calmé, l’œil dans le viseu, le canon vers ma cible.
Je m’apprêtais à faire mal comme un camionneur dans du six ans, ou comme la vérité. J’étais prêt à tout. Sauf à lui.
Elle prend place à Ellgard, il y a bien bien longtemps. J’étais encore un môme, tapant difficilement la douzaine. J’avais déjà éclaté la salle tronche de toute ma famille à cette époque-là, et je survivais en remplissant des contrats, un peu à droite, un peu à gauche. Des meurtres à la sauvette généralement … A la sauvette c’est une manière plutôt agréable de vous faire entendre que je me comportais comme une véritable petite pute pour buter mes cibles. Se fut à cette période de ma vie que je pris goût véritablement aux carnages, aux effusions de sangs et aux carnages carmins. Le plaisir de sentir ses griffes déchiraient la chair, voir les êtres suppliés alors que mes doigts viennent caresser les yeux de mes victimes avant de les arracher. J’aime voir la peur dans les yeux de mes victimes alors que mon sperme cherche à féconder leur pupille. Je suis vicieux, et bien fier de l’être. Si quelqu’un cherchait un travail très brutal, peu professionnel, et accompagné d’heures de tortures il venait s’adresser à moi.
J’étais explosif, j’étais le meilleur, sans aucun doute, ou plutôt, je n’avais encore jamais rencontré ce doute. Mais vous savez bien ce qu’on dit, on ne connait son ennemi qu’une fois qu’il nous a brisé, on ne connait ses amis, qu’une fois qu’il nous ont abandonné. Alors laissez moi vous raconter l’histoire de ma rencontre avec la Bête.
Les yeux rivés sur le plafond crasseux je venais bouger lentement mes reins sur le sexe dur d’un vieux croulant. Il se plaisait à me faire saigner, mais là où je ne lui plaisais plus vraiment c’était quand je ne couinais pas. Je n’avais pas mal, pas pour si peu c’était sûr, j’avais rencontré bien obstacles pour mon jeune âge, mais une chose que je m’étais toujours refusé à faire c’était pleuré sous les désirs immoraux des hauts Ellgardien. Ils étaient tous pourris jusqu’à la moelle, ils étaient immondes, mais ils me permettaient de gagner mon pain et mon beurre, je devais bien le reconnaître. Enfin mon pain et les divers liquides qui pouvaient l’accompagner. A la fin de sa séance, il vint caresser ma joue. Ses doigts étaient ensanglantés, noircis par ses ébats, mon souffle encore court, il caressait mes cheveux avec ce sourire lubrique, ce regard empli de vices. Je le détestais, il le savait, mais un chien ne mord pas la main qui le nourrit. Voilà pourquoi je subissais toutes ces conneries, c’était là bien mon unique raison de souffrir cette mauvaise comédie.
Mais alors que je m’attendais à un énième viol de ma petite personne il vint sortir un petit papier de sa poche. Sur le papier il avait inscrit un nom, des habitudes, et une tête. Il s’agissait d’un noble d’Akantha qui était venu faire un petit passage pour son business. Aha, un recéleur d’esclaves. Cela me fit sourire, puisque j’allais enfin pouvoir me défouler sur un être des plus méprisables. Quelqu’un qui méritait de mourir. Non pas que j’étais réellement regardant sur qui méritait ou non de mourir, puisque je n’étais rien de plus qu’un gentil chien, mais ça me faisait plaisir ce genre de contrat. Astiquant mon fusil de précision et mes griffes une dernière fois, je vins me préparer pour mon contrat. J’étais encore un gamin, mais quand j’étais prêt à tuer, quand j’étais à faire regretter votre mère de ne pas vous avoir avorté, j’étais pas très bon croiser.
Un petit haillon en guise de vêtements, je m’étais posté sur un toit d’immeuble. L’immeuble était positionné à 150 mètres de l’hôtel dans lequel il résidait. Une distance idéale pour un job aussi simple que voler une sucette à une enfant. C’était un contrat simple, il n’y avait que deux gardes pour l’accompagner qui occupait les chambres à côté de celle de la target. La respiration calmé, l’œil dans le viseu, le canon vers ma cible.
Je m’apprêtais à faire mal comme un camionneur dans du six ans, ou comme la vérité. J’étais prêt à tout. Sauf à lui.