-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

Lost Kingdom  :: Personnage :: Présentations :: Présentations validées :: Résistance

On ne s'est pas déjà rencontré ? [Terminé]

Voir le sujet précédentVoir le sujet suivant
AROBAZE JARRED
IDENTITÉ
RACE ▬ Humain
AGE ▬ 34 années
ORIENTATION SEXUELLE ▬ Hétérosexuel
SITUATION PERSONNELLE ▬ Seul malgré tout
NATIONALITÉ ▬ Ellgard
FACTION ▬ La Résistance
MÉTIER ▬ Espion, et terroriste à mes heures


MAGIE ET COMPÉTENCES
PHYSIQUE
❯ agilité xxxx ○
❯ force xx ○ ○ ○
❯ endurance xx ○ ○ ○
(TECHNO)MAGIE
❯ mana x ○ ○ ○ ○
❯ puissance xx ○ ○ ○
❯ contrôle xx ○ ○ ○
Un ami commun – Jarred bénéficie d’un don, d’une force magique passive et incontrôlable qui l’embarrasse autant qu’elle l’avantage au gré des situations. Sa seule présence suffit à influencer la mémoire et la perception de son entourage et de n’importe quelle personne le rencontrant et tout ceci dans un seul et unique résultat commun à chacun : tous se retrouvent persuadés de connaître Jarred Arobaze ou au moins de l’avoir déjà croisé quelque part. Ainsi, la première fois que vous tombez sur Jarred... et bien pour vous ce n’est pas la première fois.

Souvenez vous – Ayant évolué avec cette aura fort collante dans un environnement se méprenant totalement au sujet du pourtant solitaire Jarred, ce dernier apprit à comprendre et à orienter sa sensibilité à la magie vers les affections mnésiques. Depuis l’âge adulte, il devient de plus en plus habile, précis et pernicieux dans l’art d’implanter de faux souvenirs à ces interlocuteurs, profitant de la brèche ouverte par son don. Il ne peut qu’en général incruster qu’un seul souvenir qui est soit extrêmement positif (le rendant à son interlocuteur prodigieusement sympathique et digne de confiance) ou fort négatif (dans le but de distraire ou d’attirer les passions sur lui).

Alicia et moi (arme blanche) – Jarred possède une épée courte qu’il prénomme affectueusement Alicia, non sans une certaine et étrange malice, et dont il sait toutefois fort bien se servir. Il a une cohésion parfaite avec le poids et la formation particulière de sa lame ce qui lui donne une étonnante vivacité durant les combats. Il dégaine et frappe avec une justesse éclatante tant qu’il possède sa fidèle arme. Devant un adversaire de même force et agilité, Jarred aura sans doute toutefois un coup d’avance du fait de cette complicité étonnante.
 
PHYSIQUE
Jarred Arobaze est un homme blond, cheveux courts, barbus, de taille moyenne et à la carrure de soldat. La première chose de notable chez lui est son visage mélancolique mais très avenant et fort aimable.

Ce qui est troublant dans l’allure de notre homme est qu’il semble familier à chacun et donc peut nous rappeler par la nature même de son physique amical et commun à peu près n’importe qui. Il est cet ami que l’on saluait chaleureusement à la taverne, ce type qui nous a sauvé la mise une nuit alors que l’on était traqué par des crève-la-faim sous la pluie , le frère de bon conseil d’une ancienne fiancée ou même ce très bon coup au lit, qui peut savoir ? L’apparence de Jarred ne peut se dissocier de son curieux pouvoir qui suscite chez chacun une émotion familière.

A le regarder de plus près, son corps n’est pas de ceux qu’on peut dire d’épargnés par la vie. Des cicatrices et des brûlures le marquent à maints endroits. Une longue trace blanche longeant ses cages thoraciques est là pour lui rappeler cette fameuse bataille où il en fallut d’un rien pour reposer « ad eternam » dans la boue et le limon. Son dos est rappé par des stigmates justifiant à eux seuls son effroi ponctuel pour les technologies de type pyrotechniques.
Son visage n’est pas non plus tout à fait sans balafres ou autres souvenirs guerriers. Chaque marque cerne ses expressions faciales, le vieillissant quelques fois, et accentuant la pureté sombre de ses yeux. Si il y a une franche empathie dans le bleu d’un ciel orageux qu’abrite son regard, il y a aussi une désarçonnante sagacité et même un brin de cynisme déguisé par l’espièglerie de son caractère.

Enfin, Jarred porte la plupart du temps une armure très légère de mercenaire, marron et pourpre, qui lui apporte une grande liberté de mouvement et qui pourrait le faire passer pour un bandit de grands chemins pour les plus méfiants si ceux là n’avaient pas la sensation de l’avoir déjà vu quelque part.
A son ceinturon, un fourreau de cuir abrite la fidèle lame courte de notre homme, la sublime Alicia.


CARACTERE
Jarred est convivial, attachant et spirituel. Il peut avoir beaucoup de conversation comme il sait rester calme et silencieux le temps nécessaire afin d’être à l’écoute. En terme général, il est la personne la plus agréable qui soit pour prendre un verre et pour se confier. Se mettre à découvert… qu’est-ce qu’on risque avec un vieil ami de confiance ?

Or Jarred Arobaze, si il est bien intelligent et sociable, n’est certainement pas une personne de confiance. Il est observateur, manipulateur et menteur. Il cherche à ne rien oublier, tout savoir et tout comprendre. Il ne s’agit pas d’un obsessionnel, mais plutôt d’un professionnel. Il est dévoué corps et âme et en permanence à sa tâche d’espion : la seule chose qui peut l’intéresser est la victoire de son esprit patient sur ses ennemis. En somme, les ennemis de la Résistance, mais pas seulement. Connaître toutes les faiblesses, avoir toutes les cartes en main en attendant que les autres vident les leurs, agir dans l’ombre ; voilà ce que sont les loisirs du joyeux drille qu’est Jarred.

Il n’est pas malfaisant ou vicieux, cependant. En vérité Jarred n’éprouve pas de haine ou de colère envers qui que ce soit, et il possède une sincère compassion pour tous les êtres qui peuplent son monde, peu importent le camp dans lequel ils se trouvent. Mais notre homme est mélancolique, peiné et, surtout, amer. Son époque tient en équilibre sur une balance d’injustices, d’iniquités  et de dérèglements sociaux qui peuvent faire à tout instant éclater le pays dans lequel il a vu le jours et qu’il ne peut se résoudre à voir mourir. Ainsi, l’esprit de Jarred a été forgé par la pensée qu’il faut prendre comme résolution de s’opposer à l’ordre en place par tous les moyens qui sont en son pouvoir, quitte à sacrifier son existence. Sa vie n’est que l’ombre de ce qu’elle aurait pu être mais le parfait reflet de ce à quoi son don le destinait : être à la fois tout le monde et personne. Son âme est remplie de regrets à ce propos, mais chacun est toujours abattus par les valeurs infaillibles qu’il s’est fixé. Pour quelqu’un qui pourrait véritablement percer le caractère véritable de Jarred Arobaze, nul doute que celui-ci ne puisse que difficilement en comprendre malgré tout le fonctionnement tant il est désormais plus un piège qu’un simple esprit.
HISTOIRE
Le comble de mon existence, l’on pourrait aisément le deviner, tiens à peu de chose. Chacun croisant ma route est persuadé qu’il me connaît, et pourtant il n’y a pas une seule personne qui sache qui je suis réellement. Ce n’est pas si triste, c’est une histoire étrange envisager d’une telle façon que je me dis qu’à la fin cela vaut peut-être le coup d’en faire le récit. Peut-être qu’au final, si vous lisez ça, vous serez enfin quelqu’un qui puisse affirmer me connaître. Vous en jugerez par vous même cela dit.

Commençons simplement. Je suis né avec en Ellgard, destiné à une vie simple, au sein d’une famille ni trop pauvre ni bien riche qui est de celles bien nombreuses négligées par l’Empire qui ne voit dans son peuple qu’un large désert avec lequel il fait ses châteaux de sable, vains et puérils.
Je n’ai connu que mon père qui ne me parla jamais une seule fois de ma mère et, enfant, je compris bien vite qu’il s’agissait d’un sujet compliqué qu’il valait encore mieux ne pas évoqué. Loin des révolutions technologiques, il ne croyait pas aux progrès ni à l’urbanisation, honnête meunier qu’il était. Cela n’empêcha pas quelques soldats de passage de l’accuser de faire quelque trou dans ses sacs de farine pour son profit personnel et de l’abattre lorsqu’il protesta. Avec une telle et si brève enfance, je pensais que vous comprendrez sans que je m’y attarde que je ne pu jamais avoir quelque amicalité pour le système en place qu’est l’Empire.
Je pris conscience de mon don pour la première fois à cet épisode. Un aveugle du village s’arrêta devant moi lorsque j’errai, seul dans la grand place, et jura qu’il savait que j’étais. La chose me paraissait bien improbable, lui disais-je. A part quelques clients à mon père, et ce dernier, il n’y avait personne au monde qui puisse dire que je lui était d’une quelconque familiarité. L’homme s’entêtant, il fini par avouer qu’il me reconnaissait et ce, malgré sa cécité. Le fait était si absurde que je protestai mais il semblait tant en être absolument sûr qu’il devenait évident que quelque chose clochait. L’aveugle était misérable mais plus aimable que les riches soldats, cela était certains. Affirmant que j’étais un enfant fort courtois, il me prit un peu sous son aile afin de m’aider à me nourrir et à subsister. Rusé mendiant qu’il était, il m’apprit à mentir, voler et à me défendre avec un bâton contre les chiens, les bandits ou n’importe quelle créature sordide sur laquelle je pouvais bien tomber. La mendicité me réussit plutôt bien pendant de nombreuses années : chaque passant avait l’affreuse sensation de me connaître d'un lointain passé et ne pouvait se résoudre à ne rien me laisser. C’est ainsi que je permis à mon ami et mentor de vivre mieux et que nous pûmes exister ensemble en paix. Il me conta mille choses : sur l’empire, sur les autres pays, et de toutes les absurdités qui faisaient que ce monde était si mal conçu, si terrible pour des enfants rêvant de libertés. L’aveugle m’apprit un beau jour que j’étais certainement un enfant prodigieux, sensible à la magie, et que je possédais un don instinctif me permettant d’influer sur la mémoire des autres. Il se rendait compte après presque une décennie que lorsqu’il m’avait recueillit, c’était bien la toute première fois que nous nous rencontrions, il en rit comme un forcé et m’encouragea grandement à cultiver ce pouvoir afin de changer quelque peu le monde crasseux dans lequel nous pataugeons, ce furent ses mots.
Juste après cela, l’aveugle déclina encore et encore. Il était vieux et devenait sénile, incapable de mendier lui même. Je me suffisais désormais largement, j’étais un adulte et très habile ; je ne pouvais pourtant pas abandonner la seule personne au monde à qui je devait tout. Ces derniers délires furent sordides et douloureux, ils me marquèrent à jamais. Personne n’accepta d’aider cet homme noble à mourir décemment. Sa voix rauque appela plusieurs jours une mystérieuse Alicia, une femme qu’il décrivait comme un ange ou une déesse. Je me demandais si celle-ci existait réellement mais je ne tirai rien de mon ami. Il supplia qu’elle vienne le sauver fort longtemps.
Puis vint ce jour où je rentrai dans notre taudis, le trouvant devant le seuil de la porte, une épée courte singulière plantée dans l’épaule. Mon ami avait perdu la vie, assassiné par un bandit ou n’importe qui d’autre alors qu’il avait du sans doute voulu se traîner à l’extérieur pour chercher à manger. J’examinai l’épée qui était d’une apparence comme je n’en avais jamais vu, incurvée d’une si curieuse façon, et d’une légèreté surnaturelle que je l'observai de près avec un intérêt étrange.
Je fus amer de la disparition soudaine du vieil aveugle mais, saisit par la nervosité et le cynisme, je ne pu m’empêcher d’éclater de rire. La voilà finalement la Alicia qui libéra mon ami.
Je m’emparai de la lame et la fit mienne comme le dernier cadeau que celui-ci me fit, du même je la nomma sans relâche de ce nom féminin qu’il avait, j’en suis certains, prononcé à l’expiration.

Je quittai sans attendre mon village, prêt à parcourir Ellgard et voir le monde de plus près car, hormis ce qu’on avait dit, je n’y connaissais rien. J’appris même seulement à cette époque que mon pays était en conflit avec Mearian, me laissant rêveur sur quel genre de nation cela pouvait être.
Je parcouru les routes et découvrit peu à peu tout ce dont m’avait parlé l’aveugle : du moins je compris que la misère et la l’injustice était une affaire commune pour chacun ici bas. Les esclaves, les androïdes, les crève-la-faim, que du bétail ne vivant pas mais mourant lentement.
Seul et désemparé dans cette réalité, je scrutai alors la désolation avec tant de stupeur que je me pris à vivre comme si je n’étais qu’un spectre. Mais le monde est bruyant et nous happe toujours lorsqu’on cherche à s’en éloigner. C’est ce qui se passa.

Je fus d’abord bien embarrassé de découvrir que le moindre individu que je rencontrai me jetai un regard étonné et parfois s’arrêtait pour me parler comme à une vieille connaissance. Moi qui était seul au monde, sans exagération, j’avais le sentiment que tout à coup qu’il n’y avait nul part en cette terre où je n’étais pas connu. Il fallut bien m’en accommoder et j’en profitai pour m’immiscer dans la pensée et la psychologie de multiples personnes. Je fis grandir en moi une immense fascination et appréciation pour les comportements divers et variés de toute sorte d’humains ou même de non-humains tout aussi passionnant. Je commençai à adorer connaître les caractères, ambitions, rêves et espoirs de chacun, comme si je m’en chargeai moi même pour me rendre vivant. Mais pour toutes ces personnes,  je n’étais que l’illusion d’un individu, ne faisant que passer et ne laissant derrière moi que l’ombre d’un souvenir. Cependant je n’en restai pas à ces considérations. Il fallait que moi aussi je trouve un sens à mon existence et que j’apprenne à trouver ma place. Je perfectionnai mon art de l’épée, et surtout apprit à comprendre et utiliser la magie mnésique qu’était la mienne. Incrustant des souvenirs à propos de moi de types plus précis dans l’esprit de mes rencontres, je pouvais alors tout à coup obtenir la plupart des choses simples que je désirai. J’obtins régulièrement des repas et des nuits gratuits à l’auberge, des petits travaux, toutes sortes d’affaires dont j’avais la nécessité. Et la vie suivit son cours.

Je n’entrerai pas dans le détail de toutes les aventures et mésaventures que cela m’apporta, mais en fin de compte j’arrivai là où je ne m’attendais. Un soldat me prenant pour un ami d’enfance me recommanda à la garde d’une ville où j’étais de passage. Par curiosité ou par faiblesse – je l’ignore toujours – je décidai de rejoindre brièvement une garnison de l’empire. Ce fut une expériences formatrice qui changea à tout jamais ma vision de l'avenir. J’appris ce qu’était qu’un véritable combat mais surtout ce qu’était la dictature en action. Les innocents jugés avec barbarie, la corruption, la cruauté mise en pratique par une force armée à l’autorité implacable : il ne m’en fallut pas plus. Je disparu de jours au lendemain sans laisser une trace, sans que quiconque ne puisse deviner qui j’étais – et cela aurait été bien difficile puisque en fin de compte, je ne suis personne.

Je n’avais plus de haine en moi, ou de colère. Un calme impérial me dominait, car j’étais résolu. J’allais sacrifier tout l’homme que j’étais pour devenir l’incarnation de tous ceux qui n’avaient plus de voix. Tout ceux que j’avais connu et qui n’avaient pu agir, je voulais m’en rappeler et agir pour eux. A leur place je changerai ce monde plein de crasse dans lequel nous vivons.

Entre temps je battis souvent mais seul. Malgré qu’il m’était possible de trouver des amis partout, je n’avais pour moi qu’Alicia, et la justice que je cherchais à rendre à ses comptes ne servit pas autant que je l’aurai voulu. J’entendais parlé depuis récemment d’une Résistance, mais je n’avais que peu de confiance en cette force révolutionnaire. Je me méfiais encore des ordres hiérarchiques, encensant un seul leader, comprenant bien comment pouvait fonctionner un système oligarchique.
Alors je devint un terroriste – selon les termes du régime - anonyme et solitaire qui s’opposa comme il le pouvait aux répressions internes en Ellgard, aidant humain comme androïde ou n’importe qui d’autre. Je manquai plus d’une fois de périr en vain, et cela me fit presque perdre les espoirs que j’avais réunis. Il me fallait de toute évidence voir plus haut.
Après tout, n’étais-je pas spécial ? J’aurais mis ma main à couper que si je rencontrai l’empereur lui même il serait bien certains, comme tous les autres, de me compter parmi ses proches et confidents. Il me suffisait de remonter à la racine en passant d’un maillon de la chaîne à l’autre jusqu’à lui.
Évidemment rien n’était moins sûr. Je n’étais pas maître encore de mon pouvoir au point de compter sur lui jusqu’à un tel point, et il était plus probable que je finisse par tomber sur des êtres surnaturels qui dépassent de loin mes simples tours de passe passe. Tout ceci n’était que folie.
Plus encore, mon but était de changer le système et non de devenir un simple assassin d’empereur, celui là qui serait aussitôt remplacé par un autre. Il ne fallait pas réfléchir ainsi. Mais comment ?!

Vint le putsch de la Résistance en 414 qui marqua le début de la guerre civile entre celle-ci et l’empereur. J’en fus réellement impressionné et admit une vérité que je refusai jusqu’à lors : je ne pourrais rien accomplir seul, ce n’était que pur orgueil de le croire.
La providence me frappa sans retenue tout juste à cette pensée. Je croisai près d’un bosquet un pauvre homme gisant à l’agonie, si blessé qu’il ne pouvait qu’à peine respirer.
Je me précipitai à son secours, sachant toutefois qu’il n’y avait rien à faire dans son état. Mais l’image de l’aveugle agonisant me suivait encore, et il m’était intolérable de laisser quelqu’un pousser son ultime soupir seul.
Lorsqu’il me vit son regard s’illumina, ce qui me fit sourire avec tristesse.

- « Ho… c’est toi… » souffla t’il avec amitié.

Je hochai la tête. Il ferma les yeux, me racontant ce qu’il était en train de faire et me confia enfin son nom lorsqu’il perdit toute vie, comme si il savait alors que j’en aurai besoin. D'un nom.

Jarred Arobaze était un jeune homme qui s’en allait rejoindre la Résistance et qui fut visé par des mitraillettes alors qu’il fut reconnut par des soldats comme un agité public, révolté contre l’oppression. Je connaissais la direction. Je connaissais l’adresse.

Je frappa bientôt à une porte qui s’ouvrit. J’allais bientôt rencontrer Gabriel Knightwalker, le fameux héros de ce groupe qui serait le mien, afin de servir ma cause personnelle.

- « On se connaît, n’est-ce pas ? » me dit on avec une méfiance troublée.

« Oui je pense. Je me nomme Jarred Arobaze et je souhaite rejoindre la Résistance. »
DERRIERE L'ÉCRAN
PSEUDO ▬ Jarred
AGE ▬ 21 ans
TU NOUS A TROUVÉ OU ? ▬Un annuaire de forums rpg je crois
UN AUTRE COMPTE ▬ Nop’
LE PERSONNAGE DE TON AVATAR ▬ ORIGINE ▬ Il n’a pas de nom, c’est une illustration de chevalier qui m’est sympathique
TU AS LU LE RÈGLEMENT ? ▬ Oui, fort bien
    Bienvenue ici On ne s'est pas déjà rencontré ? [Terminé] 2647753636 Un nouveau soldat pour la Résistance, c'est super! Courage pour le reste de ta fiche!
Bienvenue future recrue du goulag On ne s'est pas déjà rencontré ? [Terminé] 3622086245
Bienvenue parmi nous ! Courage pour ta fiche !
Merci à vous !

Je pense avoir achevé ma présentation, en espérant qu'elle vous plaise bien :yay:
    Le staff passe vite te lire! On ne s'est pas déjà rencontré ? [Terminé] 3421568806
おめでとう !
Gégé t validé

LES TEMPS FORTS ▬ J'ai adoré ta magie et la façon dont elle a sculpté l'essence de ton personnage même, c'est un concept fort intéressant!


REMARQUES ▬ La Résistance est fort ravie de voir un nouveau camarade rejoindre ses rangs, au plaisir de te croiser inrp avec Aeon :D