Cérès Kementari
IDENTITÉ
RACE ▬ Dryade AGE ▬ 213 ans. ORIENTATION SEXUELLE ▬ Osefsexuelle. SITUATION PERSONNELLE ▬ Célibataire NATIONALITÉ ▬ Nuevienne. FACTION ▬ Conseil des Sages MÉTIER ▬ Sage Tertius - Prêtresse de Terraris | ||
MAGIE ET COMPÉTENCES
La magie de Cérès est des plus spéciales. En effet, totalement liée à sa nature de dryade, la magie de Cérès est connectée à la terre environnante, ou plus exactement à la végétation environnante par leurs racines et le flux énergétique les parcourant. Par cette connexion Cérès est capable de créer et greffer à des racines déjà existantes dans le sous-sol ses propres racines établissant une connexion avec sa propre énergie. Cette connexion lui permet en fonction de l’énergie qu’elle déverse de faire s’accroître la végétation à laquelle elle s’est reliée et de l’impulser sous sa volonté pour l’animer et la faire se mouvoir. Sa magie passe par le transfère des énergies parcourant l’élément terre et le flux vitale de la végétation y étant attachée. Sa magie lui permet donc de connecter la végétation par le biais des racines qu’elle crée à un autre être vivant touchant le sol en greffant les racines qu’elle créée à cet être afin de pomper ou augmenter son énergie. En reliant un être vivant à une composante de la végétation elle transfert, c'est-à-dire qu’elle choisie de substituer l’énergie de cet être à la sienne, les racines l’agrippant pouvant alors soit pomper son flux vital pour permettre l’accroissement et la mise en mouvement de l’élément de la végétation auquel elle l’a relié, soit transférer l’énergie de la végétation à ce dit être pour le renforcer. Si créer le lien pompe sa propre énergie, contrôler la végétation par un corps auquel est établie sa greffe, ou le renforcer, n’utilise alors pas la sienne mais celle du corps en question. Plante Totem : Les ronces sont le totem de Cérès et cette dernière possède un lien tout particulier avec elles puisque c'est en rapport avec ces ronces que Cérès a développé en premier lieu sa magie et ses facultés, la ronce devenue multitude a été nourrie pendant deux siècles de sa propre énergie et recouvre aujourd'hui le temple improvisé de la dryade jusqu'aux profondeurs de la terre. Connexion La première technique de Cérès n’est autre que l’établissement du lien. Elle crée dans le sous-sol des racines qu’elle relie à un élément de la végétation, puis utilise son énergie pour soit la transférer à la dite végétation directement en utilisant son énergie. (Cette technique permettant alors seulement de faire pousser et l’accroitre la végétation sans la contrôler en y déversant son énergie), soit déployer sa greffe de racines pour les faire s’étendre et jaillir de terre afin de se greffer à un être vivant. Concrètement les racines enlacent la peau en une partie du corps pour l’agripper afin de soit pomper l’énergie de la victime, soit lui en donner en pompant celle de la végétation. Dans un cas la végétation reliée va alors pousser et s’accroître, dans l'autre la cible va se retrouver renforcée par un surplus d’énergie. Concrètement cette technique peut immobiliser, affaiblir ou renforcer un être vivant non végétal et faire pousser la végétation, mais aucunement la contrôler de manière directe, elle crée juste le lien et le transfert des énergies. La connexion est nécessaire pour l'utilisation de toutes les techniques liées à la magie de Cérès Linceul Végétal Une fois le lien créé (d’une manière ou d’une autre) Cérès peut alors utiliser sa magie pour prendre le contrôle de la végétation. Le linceul végétal fait alors foncer la végétation soumise au transfert d’énergie sur la cible pour se plaquer à son corps et tenter d'entièrement le recouvrir en exerçant une force de constriction sur la cible afin de l’étouffer. Néanmoins si le linceul végétal est utilisé en utilisant l’énergie d’un être vivant via la "greffe", le linceul ne peut prendre pour cible ce même être car il est la source de sa vivacité et de son énergie. Si Cérès utilise son énergie propre le linceul végétal est alors totalement soumis à sa volonté quant au choix de sa cible. Dans le cas où l’énergie de la végétation est transférée à l’être vivant a qui elle l’a connecté, le linceul végétal se traduit par un cocon végétal venant recouvrir la cible et former une légère pellicule faisant ressentir bien-être, chaleur et apaisement à celui recevant l’énergie de la dite végétation. (Évidemment on peut se libérer du linceul relativement facilement, une grande force physique ou une magie de feu par exemple ne sera que peu gêné par le linceul) Déchaînement végétal Par la connexion, Cérès devient alors capable en utilisant son énergie (ou une autre) de provoquer un véritable bouleversement du milieu où elle se trouve. En effet le déchainement végétal est une technique redoutable faisant jaillir de terre ronces, lianes, arbustes etc entièrement soumis à son contrôle et auquel elle peut ordonner, cette technique demande une grande quantité d'énergie, plus elle utilise de l'énergie plus la technique est puissante pouvant aller jusqu'à faire jaillir des arbres (avec caracs appropriés) du sol et ensuite les contrôler pour attaquer (via leurs branches, feuilles etc) tant que la connexion est active. Infos complémentaires : La puissance des techniques et leur possibilités dépendent du contrôle et de la puissance de Cérès, mais aussi en grande partie du mana injecté dans l'utilisation de la magie. Quand la végétation se nourrie sur autrui l'efficacité de la magie et des compétences sera donc dépendante des caractéristiques d'endurance et de mana de la cible et de la puissance et du contrôle de Cérès, quelqu'un sans mana et peu endurant ne permettra qu'une utilisation très faible des techniques (malgré la puissance et le contrôle) comme faire pousser de l'herbe par exemple. Bref tout ceci est à voir en grande partie lors des rps en accord avec l'autre et les facultés de son personnage. |
PHYSIQUE
Les mots fusent, les débats se prolongent, stériles et ennuyants. Un soupire qui s'extirpe de ses lèvres émeraudes alors que sa silhouette svelte s'affaisse sur sa chaise avec nonchalance. Son regard céruléen parcourt l'auditoire, passe de visage en visage alors qu'elle reste muette, sa chevelure écarlate jurant avec le vert pastel de sa peau alors qu'elle camoufle ses oreilles effilées, volcan en sommeil qui n'attendrai plus que l'explosion. L'ennuie devient exaspération alors que l'horloge continue sa route, deux heures déjà que les discussions s'éternisent sans qu'un point d'accord ne soit trouvé. Un rictus agacé alors que finalement la silhouette à l'allure végétale se lève, corps en avant alors que ses mains se plaquent en silence sur la table. Un silence devant la réaction alors que sa voix mélodieuse s'élève, douce et glaciale alors qu'elle cache son agacement derrière un masque impassible, plante piégée dans la glace.
" Je demande un report de séance. Aucune solution ne sera trouvée aujourd'hui puisque chacun cherche à convaincre l'autre sans écouter. Une nuit de repos pour prendre du recul ne peut que servir ce débat devenu stérile depuis trop longtemps. "
Ses yeux céruléens se posent sur Alexander, attendent l'appuie dans un regard impassible, presque hautain alors qu'elle transpire l'arrogance, que ses yeux froids traduisent sa pensée comme l'eau claire d'une source oubliée. Tu sais que j'ai raison.
Un long silence, les regards se tournent vers lui, certains sont épuisés, d'autres exaspérés par l'attitude arrogante et nonchalante de la dryade restée muette pendant l'intégralité de l'échange. Il finit par acquiescer et sans demander son reste elle se soustrait à la discussion, pas un mot, pas un au revoir, incarnation de l'arrogance alors qu'elle s'éloigne dans sa robe de gaze au blanc immaculé, les voiles translucides dansant dans sa suite alors que ses long cheveux pourpres se mêlent au pastel de sa peau et au blanc du tissu dans une étrange danse aérienne. Superficielle et sans pudeur alors que sa tenue laisse apparaitre ses formes sans aucune retenue, aussi sobre qu'indécente, paradoxe incarnant la nymphe à la perfection alors qu'elle s'engouffre dans la nuit tel ces dames blanches hantant les mythes. Ensorcelante et dangereuse alors que dans sa beauté transpire le piquant des ronces pouvant tout ravager dans une démarche aérienne.
" Je demande un report de séance. Aucune solution ne sera trouvée aujourd'hui puisque chacun cherche à convaincre l'autre sans écouter. Une nuit de repos pour prendre du recul ne peut que servir ce débat devenu stérile depuis trop longtemps. "
Ses yeux céruléens se posent sur Alexander, attendent l'appuie dans un regard impassible, presque hautain alors qu'elle transpire l'arrogance, que ses yeux froids traduisent sa pensée comme l'eau claire d'une source oubliée. Tu sais que j'ai raison.
Un long silence, les regards se tournent vers lui, certains sont épuisés, d'autres exaspérés par l'attitude arrogante et nonchalante de la dryade restée muette pendant l'intégralité de l'échange. Il finit par acquiescer et sans demander son reste elle se soustrait à la discussion, pas un mot, pas un au revoir, incarnation de l'arrogance alors qu'elle s'éloigne dans sa robe de gaze au blanc immaculé, les voiles translucides dansant dans sa suite alors que ses long cheveux pourpres se mêlent au pastel de sa peau et au blanc du tissu dans une étrange danse aérienne. Superficielle et sans pudeur alors que sa tenue laisse apparaitre ses formes sans aucune retenue, aussi sobre qu'indécente, paradoxe incarnant la nymphe à la perfection alors qu'elle s'engouffre dans la nuit tel ces dames blanches hantant les mythes. Ensorcelante et dangereuse alors que dans sa beauté transpire le piquant des ronces pouvant tout ravager dans une démarche aérienne.
CARACTERE
Froide. Froide est indubitablement l'un des premiers mots venant à l'esprit quand on rencontre la dryade. Glaciale, connasse dirait certains alors que son visage inhumain est comme une plante prise dans la glace. Cérès est de ses personnes qui contrôlent leurs expressions et émotions avec la violence d'un ouragan. Une froideur teintée de mystère alors qu'elle parle peu, qu'elle écoute, qu'elle observe, scrute chacun de vos mouvements et chacune de vos expressions, parfois son regard semble dans le vague comme si elle était ailleurs, pourtant elle est là, elle écoute avec ce calme inhumain.
Mystérieuse dans ses attitudes et dans le secret qu'elle cultive comme une arme, son passé peu le connaisse en dehors des classiques ayant fait d'elle le sage tertius, tout simplement car elle ne parle pas d'elle, choses figées au fond de son être dans une cage de ronces et d'épines... Ronce... Piquante. Indubitablement piquante alors qu'elle manie l'ironie et le sarcasme avec une voix d'une douceur presque féérique, piquante et arrogante alors qu'elle vous toise, qu'elle se comporte comme si rien ni personne ne lui importait, ou plutôt n'était digne de son intérêt. Faux, bien évidemment, mais elle n'est pas de ces personnes polies, pour elle la politesse n'est qu'une hypocrisie que les gens utilisent pour se rassurer et se sentir appartenir à une illusion de communauté.
Une arrogance gelée couplée à une vanité certaine, consciente de sa beauté si atypique, consciente de ses charmes et de ses atouts que ses tenues mettent en valeur avec une légèreté presque féérique, robes faites de voilages et parures de bijoux argentés et dorés. Sensuelle et superficielle, dans une certaine mesure, superficielle vanité alors que s'observer dans le miroir est un réel plaisir, belle qui le sait et qui la recherche. Elle aime la beauté et c'est certainement l'une de ses plus grandes faiblesse, car malgré sa méfiance naturelle elle est véritablement fascinée par elle, elle la recherche et veut la rencontrer peu importe le danger. La beauté de la nature, la beauté de la terre et de ses bienfaits, une beauté qu'incarne pour elle Terraris dans toutes ses facettes.
Curieuse et cultivée, malgré cet air froid qu'elle incarne, comme beaucoup de sage elle possède une culture certaine qu'elle considère primordiale, une connaissance que l'on se doit de cultiver à chaque instant de sa vie, de faire grandir et prospérer tel une pouce pour devenir un chêne illustre trônant dans la forêt. Calme et antipathique, véritable connasse diront certain, fanatique pour d'autres quand elle redevient cette prêtresse auto-proclamée. Pourtant elle n'est pas misanthrope, juste en dehors des conventions sociales que l'on attend, à l'exception du culte de Terraris qu'elle respecte et dirige selon les anciennes coutumes. Culte étant l'une des seules preuve évidente qu'elle aime son pays et son peuple avant tout malgré son piquant légendaire.
Un amour qui a pourtant bien du mal à se concerter avec la rancœur, la rancœur d'un peuple à l'agonie et presque disparu, le siens, celui des dryades. Une rancœur qui se meut en haine devant ces faux dieux parcourant le monde en chassant l'hérésie, ils sont l'hérésie, une insulte à la terre elle-même, à Terraris qui lui est si chère, au monde lui-même. Une haine en vers l'empire qui détruit la nature en un souffle, moteur de guerre et monstre d'étain à la faim irascible dont les stigmates du passé hantent l'âme. Fanatiques technologiques qui la révulsent jusqu'au fond de ses tripes et de son être.
Un volcan endormi, par choix alors qu'elle a conscience de ses failles, de cette colère bouillonnante qui se cache dans une prison de gèle, une colère capable de tout carboniser sur son passage pour ne laisser qu'une lande désolée de ronces et de gravats.
Attirante dans son mystère, détestable dans ses manières, la dryade reste cependant d'une franchise rare, habituée du jeu politique elle manipule évidemment, mais l'hypocrisie lui fait horreur et la franchise est une qualité rare qu'elle considère particulièrement. Méfiante, sa confiance reste cependant quelque chose de précieux, mais surtout une chose unique que l'on ne pourra jamais retrouver après l'avoir perdue. Quand la situation le permet Cérès vous fera bien ressentir ce qu'elle pense de vous, subtilement ou pas, sa franchise peut-être comme un couteau acéré et elle en attend de même de celui lui faisant face, sur un pied d'égalité, dans les paroles et dans les actes. Un regard pour montrer qu'elle ne vous appréciera jamais, une phrase neutre pour signifier que vous semblez quelqu'un de plus ou moins agréable. Cérès est un être complexe forgé dans la sève des forêts et leurs secrets, un être que peu réussissent à cerner et comprendre, mais dont les intentions ne sont que rarement mauvaises. Elle souhaite le mieux pour Nueva et est prête à tout pour l'obtenir, peu importe le prix à payer. Cérès c'est la prise de conscience que vivre reclus ne sert à rien, c'est l'abandon de ces forêts si chères à son cœur pour se mêler au monde, la prise de conscience que leur isolement causera leur perte et que Nueva n'est pas autre chose qu'une arme pour l'égalité et la justice, une arme pour Terraris quand bien même doit-elle émerger de la plus totale des destructions.
Mystérieuse dans ses attitudes et dans le secret qu'elle cultive comme une arme, son passé peu le connaisse en dehors des classiques ayant fait d'elle le sage tertius, tout simplement car elle ne parle pas d'elle, choses figées au fond de son être dans une cage de ronces et d'épines... Ronce... Piquante. Indubitablement piquante alors qu'elle manie l'ironie et le sarcasme avec une voix d'une douceur presque féérique, piquante et arrogante alors qu'elle vous toise, qu'elle se comporte comme si rien ni personne ne lui importait, ou plutôt n'était digne de son intérêt. Faux, bien évidemment, mais elle n'est pas de ces personnes polies, pour elle la politesse n'est qu'une hypocrisie que les gens utilisent pour se rassurer et se sentir appartenir à une illusion de communauté.
Une arrogance gelée couplée à une vanité certaine, consciente de sa beauté si atypique, consciente de ses charmes et de ses atouts que ses tenues mettent en valeur avec une légèreté presque féérique, robes faites de voilages et parures de bijoux argentés et dorés. Sensuelle et superficielle, dans une certaine mesure, superficielle vanité alors que s'observer dans le miroir est un réel plaisir, belle qui le sait et qui la recherche. Elle aime la beauté et c'est certainement l'une de ses plus grandes faiblesse, car malgré sa méfiance naturelle elle est véritablement fascinée par elle, elle la recherche et veut la rencontrer peu importe le danger. La beauté de la nature, la beauté de la terre et de ses bienfaits, une beauté qu'incarne pour elle Terraris dans toutes ses facettes.
Curieuse et cultivée, malgré cet air froid qu'elle incarne, comme beaucoup de sage elle possède une culture certaine qu'elle considère primordiale, une connaissance que l'on se doit de cultiver à chaque instant de sa vie, de faire grandir et prospérer tel une pouce pour devenir un chêne illustre trônant dans la forêt. Calme et antipathique, véritable connasse diront certain, fanatique pour d'autres quand elle redevient cette prêtresse auto-proclamée. Pourtant elle n'est pas misanthrope, juste en dehors des conventions sociales que l'on attend, à l'exception du culte de Terraris qu'elle respecte et dirige selon les anciennes coutumes. Culte étant l'une des seules preuve évidente qu'elle aime son pays et son peuple avant tout malgré son piquant légendaire.
Un amour qui a pourtant bien du mal à se concerter avec la rancœur, la rancœur d'un peuple à l'agonie et presque disparu, le siens, celui des dryades. Une rancœur qui se meut en haine devant ces faux dieux parcourant le monde en chassant l'hérésie, ils sont l'hérésie, une insulte à la terre elle-même, à Terraris qui lui est si chère, au monde lui-même. Une haine en vers l'empire qui détruit la nature en un souffle, moteur de guerre et monstre d'étain à la faim irascible dont les stigmates du passé hantent l'âme. Fanatiques technologiques qui la révulsent jusqu'au fond de ses tripes et de son être.
Un volcan endormi, par choix alors qu'elle a conscience de ses failles, de cette colère bouillonnante qui se cache dans une prison de gèle, une colère capable de tout carboniser sur son passage pour ne laisser qu'une lande désolée de ronces et de gravats.
Attirante dans son mystère, détestable dans ses manières, la dryade reste cependant d'une franchise rare, habituée du jeu politique elle manipule évidemment, mais l'hypocrisie lui fait horreur et la franchise est une qualité rare qu'elle considère particulièrement. Méfiante, sa confiance reste cependant quelque chose de précieux, mais surtout une chose unique que l'on ne pourra jamais retrouver après l'avoir perdue. Quand la situation le permet Cérès vous fera bien ressentir ce qu'elle pense de vous, subtilement ou pas, sa franchise peut-être comme un couteau acéré et elle en attend de même de celui lui faisant face, sur un pied d'égalité, dans les paroles et dans les actes. Un regard pour montrer qu'elle ne vous appréciera jamais, une phrase neutre pour signifier que vous semblez quelqu'un de plus ou moins agréable. Cérès est un être complexe forgé dans la sève des forêts et leurs secrets, un être que peu réussissent à cerner et comprendre, mais dont les intentions ne sont que rarement mauvaises. Elle souhaite le mieux pour Nueva et est prête à tout pour l'obtenir, peu importe le prix à payer. Cérès c'est la prise de conscience que vivre reclus ne sert à rien, c'est l'abandon de ces forêts si chères à son cœur pour se mêler au monde, la prise de conscience que leur isolement causera leur perte et que Nueva n'est pas autre chose qu'une arme pour l'égalité et la justice, une arme pour Terraris quand bien même doit-elle émerger de la plus totale des destructions.
Prologue ~ vers 350
Le vent s'engouffre entre les géants d'écorce et de sève. Spectateurs millénaires dont le coeur vibre de l'écho de la guerre. Un silence de mort plane sur la forêt alors que l'odeur âcre du sang et du fer la souille de son emprise létale. Un souffle saccadée, douloureux alors qu'à l'ombre d'un majestueux chêne le corps féminin se vide de son sang aux reflets verts. Sève de la vie s'écoulant, nature blessée dans son orgueil et dans sa chaire par l'immondice de ces envahisseurs inconnus et destructeurs, bafouant la terre et les dieux dans leur sorcellerie démoniaque. Sa poitrine se soulève difficilement à chaque respiration alors que la plaie béante sur son flanc laisse jaillir le flot de sa vie à l'agonie, le piquant de la ronce n'est plus que pâle épine que le froid meurtrie. A ses côtés git le cadavre disloqué de l'agresseur, envahisseur dont le corps composé de matériaux inconnus salit l'essence même de la forêt.
Une fureur sourde qui ronge l'âme, une tornade de violence et de colère qui maintient la vie alors qu'elle puise dans ses maigres réserves de mana, se connecte à la terre alors qu'elle établie la greffe, autour du corps presque sans vie de la dryade la végétation s'anime faiblement, herbe et fleurs sauvages s'élevant pour recouvrir sa plaie d'une fine pellicule végétale, une douce chaleur pour chasser le froid mordant de la mort approchant a grand pas alors que l'énergie végétale redonne un faible souffle de vie à la dryade. Lentement le saignement perd en intensité alors que la vie s'accroche par la force de sa volonté au détriment des miettes restantes de sa magie épuisée par le combat à mort contre le monstre métallique. Une prière muette adressée à Terraris pour la survie et la vengeance.
La mort attend, guette à chaque instant alors que son sanctuaire, que leur sanctuaire n'est plus qu'un milieu hostile où rôde l'envahisseur pouvant jaillir à tout moment pour achever l'incarnation végétale. Un poing qui se ferme faiblement, miettes de sa force alors que la rage gronde, une volonté de revanche, doux échos de vengeance auxquels elle s'accroche de toute ses forces comme une mère à laquelle on tente d'arracher son enfant de force. Ils paieront. Tant qu'elle vivra ils paieront, golems de destructions, colosse gangréné par la violence et cet étrange métal, magie noire et démoniaque, tout en eux la révulse et c'est l'idée des milles tourment qu'elle rêve de leur infliger qui anime son âme.
Sur ses joues couleur pastel les larmes de sève coulent de ses yeux céruléens, carnage des siens mutilés et déchiquetés par le feu en fusion de horreurs métalliques crées pour détruire. Purement et simplement. Combien sont mortes ? Elle l'ignore et cette pensée la hante. Combien combattent encore ? Combien sont-elles encore ?
Le temps s'écoule dans un silence de mort alors que même les animaux semblent avoir déserté la forêt, leur propre maison, leur propriété sacré. Un silence que l'écho sourd d'une explosion brise au loin, retentissant comme un nouveau coup de hache asséné à son coeur, son visage se relève faiblement alors que la terre tremble sous l'effondrement lointain des géants millénaires. Que Terraris vous détruise.
La végétation se meurt alors que la greffe disparait, sa plaie encore vive a enfin cessé de saigner, lentement la nymphe se redresse en s'agrippant au tronc majestueux ayant protégé son corps frêle et nue depuis un temps qu'elle est incapable de calculer. Ses jambes tremblent, faiblesse alors qu'elle manque de chuter. Elle se fige un instant, tente de reprendre une respiration normale, ne pas flancher, ne pas tomber. Une profonde inspiration, ses mains frêles lâchent la rugueuse écorce alors qu'elle entreprend de marcher. Ne pas céder à la panique. Ils approchent, le bruit des étranges détonations trahie leur avancée terrifiante. Partir. Elle doit quitter cette endroit avant qu'on ne l'achève comme une bête traquée et acculée.
Un sifflement strident alors qu'elle s'effondre, le sifflement d'un objet inconnu la frôlant en emportant avec elle une mèche de sa chevelure ardente. La certitude de la fin alors que la mort est là, qu'elle peut presque sentir son baisé glacé. Recule bruyamment dans un bruit étrange de grésillements. La sensation de s’élever dans les airs alors qu'une main agrippe son bras avec fermeté. Un écho lointain d'une voix familière qui vient perturber son esprit embrumé. Une vision trouble, brume envahissant l'esprit tenter de se concentrer sur ce qui arrive en cet instant. La voix devient plus claire, grondante alors que le visage gagne en netteté. Une somation.
" Cérès réveille-toi ! Maintenant ! "
La tension plus ferme sur son bras venant trouver la nuque familière alors que ses jambes réagissent par automatisme pour avancer sans même savoir comment.
La conscience réagissant faiblement avant de sombrer à nouveau dans le vague et la confusion.
Syrinx.
Une fureur sourde qui ronge l'âme, une tornade de violence et de colère qui maintient la vie alors qu'elle puise dans ses maigres réserves de mana, se connecte à la terre alors qu'elle établie la greffe, autour du corps presque sans vie de la dryade la végétation s'anime faiblement, herbe et fleurs sauvages s'élevant pour recouvrir sa plaie d'une fine pellicule végétale, une douce chaleur pour chasser le froid mordant de la mort approchant a grand pas alors que l'énergie végétale redonne un faible souffle de vie à la dryade. Lentement le saignement perd en intensité alors que la vie s'accroche par la force de sa volonté au détriment des miettes restantes de sa magie épuisée par le combat à mort contre le monstre métallique. Une prière muette adressée à Terraris pour la survie et la vengeance.
La mort attend, guette à chaque instant alors que son sanctuaire, que leur sanctuaire n'est plus qu'un milieu hostile où rôde l'envahisseur pouvant jaillir à tout moment pour achever l'incarnation végétale. Un poing qui se ferme faiblement, miettes de sa force alors que la rage gronde, une volonté de revanche, doux échos de vengeance auxquels elle s'accroche de toute ses forces comme une mère à laquelle on tente d'arracher son enfant de force. Ils paieront. Tant qu'elle vivra ils paieront, golems de destructions, colosse gangréné par la violence et cet étrange métal, magie noire et démoniaque, tout en eux la révulse et c'est l'idée des milles tourment qu'elle rêve de leur infliger qui anime son âme.
Sur ses joues couleur pastel les larmes de sève coulent de ses yeux céruléens, carnage des siens mutilés et déchiquetés par le feu en fusion de horreurs métalliques crées pour détruire. Purement et simplement. Combien sont mortes ? Elle l'ignore et cette pensée la hante. Combien combattent encore ? Combien sont-elles encore ?
Le temps s'écoule dans un silence de mort alors que même les animaux semblent avoir déserté la forêt, leur propre maison, leur propriété sacré. Un silence que l'écho sourd d'une explosion brise au loin, retentissant comme un nouveau coup de hache asséné à son coeur, son visage se relève faiblement alors que la terre tremble sous l'effondrement lointain des géants millénaires. Que Terraris vous détruise.
La végétation se meurt alors que la greffe disparait, sa plaie encore vive a enfin cessé de saigner, lentement la nymphe se redresse en s'agrippant au tronc majestueux ayant protégé son corps frêle et nue depuis un temps qu'elle est incapable de calculer. Ses jambes tremblent, faiblesse alors qu'elle manque de chuter. Elle se fige un instant, tente de reprendre une respiration normale, ne pas flancher, ne pas tomber. Une profonde inspiration, ses mains frêles lâchent la rugueuse écorce alors qu'elle entreprend de marcher. Ne pas céder à la panique. Ils approchent, le bruit des étranges détonations trahie leur avancée terrifiante. Partir. Elle doit quitter cette endroit avant qu'on ne l'achève comme une bête traquée et acculée.
Un sifflement strident alors qu'elle s'effondre, le sifflement d'un objet inconnu la frôlant en emportant avec elle une mèche de sa chevelure ardente. La certitude de la fin alors que la mort est là, qu'elle peut presque sentir son baisé glacé. Recule bruyamment dans un bruit étrange de grésillements. La sensation de s’élever dans les airs alors qu'une main agrippe son bras avec fermeté. Un écho lointain d'une voix familière qui vient perturber son esprit embrumé. Une vision trouble, brume envahissant l'esprit tenter de se concentrer sur ce qui arrive en cet instant. La voix devient plus claire, grondante alors que le visage gagne en netteté. Une somation.
" Cérès réveille-toi ! Maintenant ! "
La tension plus ferme sur son bras venant trouver la nuque familière alors que ses jambes réagissent par automatisme pour avancer sans même savoir comment.
La conscience réagissant faiblement avant de sombrer à nouveau dans le vague et la confusion.
Syrinx.
DERRIERE L'ÉCRAN
PSEUDO ▬ Chat AGE ▬ 26 ans TU NOUS A TROUVÉ OU ? ▬Grrr UN AUTRE COMPTE ▬ Hazel LE PERSONNAGE DE TON AVATAR ▬ BATMAN ▬ Poison Ivy TU AS LU LE RÈGLEMENT ? ▬ Oui. |