Travelyan Neal
Civil et Enfant de la rueIdentité
- Race : Mi Humain et Mi Démon
- Âge : 18 ans
- Orientation sexuelle : Hétéro
- Situation personnelle : Célibataire
- Nationalité : Akhanta
Points de caractéristiques
- Physique :
- Agilité :
- Force :
- Endurance :
- (Techno)magie :
- Mana :
- Puissance :
- Contrôle :
Compétences [3/3 slots]
Le nom de la magie de Neal est Hellfire. Le jeune homme des rues possède le pouvoir de créer le feu, mais de couleur bleu. Outre que ses flammes brûlent comme n'importe quel type de brasier, elles ont la particularité de ne pas brûler selon le désir de leur maître. Autrement dit, Neal peut décider qui se fait brûler par sa magie ou non. Il s'agit d'un feu sélectif, en somme. Alors, pourquoi le nom "Hellfire" ? Tout simplement parce que ces flammes viennent de l'enfer, mais le jeune homme n'en a pas conscience. Cela rappelle surtout qu'il est à moitié démon.
Feu Selectif :
Compétence basique de la magie de Neal. Il est capable de créer des flammes de couleur bleu sélectif. Son brasier peut donc brûler ou non selon le désir du jeune homme, qui est immunisé par son feu. Plus il utilise sa magie, plus il s'épuise. S'il va au delà de ses limites, Neal tomberas dans les pommes.
Parkour:
L'art du déplacement. Il s'agit d'un sport pour se déplacer efficacement en franchissant des obstacle de manière agile et rapide avec l'aide de son corps par la course, des sauts, des acrobaties, des escalades, etc. Neal a apprit cette discipline auprès de ses amis dans les rues d'Akantha.
Magie raciale : Transformation démoniaque - Incube
Image. Il ne le sait pas encore, mais Neal n'est pas le fils d'un Magister mearien mais d'un démon. D'un Incube, pour être précis. Les cheveux du jeune homme deviennent sombres et ses yeux lumineux. Son regard et son caractère deviennent plus moqueur. Il devient plus cruel. Attention, il ne s'agit pas d'un autre Neal, C'EST Neal avec une personnalité différent. Sous cette forme, Neal devient plus séduisant. C'est dû au sang d'incube coulant dans ses veines. Rien qu'avec ses mots, vous tomberez sous son charme. Enfin, si vous échouez à y résister.
Physique
Concernant son physique en général, Neal mesure 1m70 pour 68 kg. Il n’a pas un corps imposant, mais cela ne veut pas dire qu’il est frêle. C’est vrai qu’il a des bras et des jambes plutôt maigre, mais il n’est pas dénué de muscle sous sa peau blanc. N’étant pas infirme, Neal a un corps en bonne santé et en entier : il ne possède ni tatouage, ni cicatrice. En même temps, ce n’est pas comme s’il était un soldat ou un guerrier, même s’il sait se battre.
Niveau tenue vestimentaire, Neal ne se prend pas la tête. Ce n’est pas comme s’il suivait complétement la mode, mais il prend quand même soin de lui, que ce soit niveau hygiène et vêtement. Il aime beaucoup porter des tenues décontractées de couleurs noirs. Tant que ce sont des vêtements pas trop flashy, trop froufrou… Bref des habits masculin quoi. Par contre, il aime beaucoup porter des accessoires. Les colliers, les bracelets, même les bagues… Tous ces bijoux tant que cela soit en argent ou en or gris. Une dernière chose : Neal possède comme arme une épée longue qu’il range en bas de son dos dans un fourreau.
Caractère
Neal ne manque pas de sociabilité. Peut-être qu’il en a trop ? Pour les associables, oui. Venant de la noblesse, le jeune homme peut faire preuve de respect et d’un langage soutenu. Mais, il vient de la rue, donc sa manière de parler s’est vulgarisé avec le temps. Neal parle surtout de manière sarcastique et ironique, mais toujours dans la bonne humeur. Le fait-il exprès ? C’est juste devenu naturel pour lui. Mais il aura toujours le sourire aux lèvres et l’air optimiste. Donc il serait normal si vous pensez qu’il se fout carrément de votre binette.
Concernant ses idéaux, Neal était un ancien croyant mearien. Il a idéalisé aveuglément les Seraph, mais plus maintenant. Enfin, il croit qu’il y a une divinité, mais les Seraph ne le sont pas. Il n’aime pas non plus l’Empire. Pour lui, les ellgardiens sont des personnes dangereux qui veulent dominer le monde à leur manière en privant quiconque de liberté. Cela ne veut pas dire qu’il restera fermer aux ellgardiens et au meariens. Neal ne juge personne, quelque soit ses origines, ses croyances, ses différences… Ce sont les politiques qu’il déteste, pas les gens.
Car oui, le jeune homme déteste tout ce qui est mauvais… de son point de vue. Egoïste ? Non d’abord il pense à son bien être avant les autres. Logique, non ? Il n’aide pas les autres gratuitement, il faut qu’il y trouve un intérêt. La gratuité, c’est pour les naïfs et les pauvres. Ce n’est pas comme s’il avait un mauvais fond car si quelqu’un était en danger, bien sûr qu’il irait à son secours… Juste, il se pourrait qu’il demande une récompense. Ou pas, cela dépendra de ses besoins et de son humeur.
Cependant, Neal possède une autre personnalité à cause de sa race. Lorsqu’il prend sa forme démoniaque, il devient plus diabolique et plus cruel. Le mot pitié n’existe plus dans son esprit. On peut même dire qu’il perd son inhumanité. Il devient la personnification même de la cruauté gratuite.
Histoire
Je fus élevé par ma mère par ma mère, dont la santé était fragile, et ma grande soeur, Jassica. Elle avait 6 ans de plus que moi et aspirait à devenir Grande Prêtresse un jour, afin d’apporter la paix dans notre monde. Un noble rêve dont beaucoup de Mearienne rêvait. Elle travaillait dure chaque jour pour atteindre ce but. Le mien ? Je l’avais “trouvé” depuis la mort de mon père : je souhaitais devenir un Magister afin de protéger ma soeur. Je ne voulais plus voir un membre de ma famille tuer par ces infâmes Ellgardiens.
Ma mère accepta d’engager un maître d’arme pour m’apprendre à manier l’épée. Cela ne lui plaisait pas de me voir pratiquer ce genre d’activité “dangereuse” et “violente”, étant une pacifique. Mais, comme je le faisais pour notre religion, elle me laisser faire. D’autant plus que je ne tournais pas le dos à mes autres cours plus culturel, comme le piano, l’ocarina… Ah oui, j’avais oublié de préciser : je venais d’une famille de noble. Mon éducation était donc pris très au sérieux et exigeait une certaine qualité.
Je dois vous avouer que je n’aimais pas trop cette vie de “privilégié”. J’aimais ma famille, certes, mais toute cette noblesse m'étouffer. Je n’avais jamais le droit de m’amuser dehors avec les autres enfants de mon âge. Je devais étudier toute la journée et prier. Heureusement, je me sentais plus libre durant mes entrainements. Que ce soit à l’épée ou à la magie. Je vous parle comme si je n’avais pas la Foi, mais je l’ai. Même que chaque année, lors de la fête des astres, je fais le voeu que ma mère guérisse de sa maladie. Jassica aussi, d’ailleurs. Ses prières n’étaient pas seulement pour la paix dans le monde, mais aussi pour notre mère.
Mais, je me doutais pas qu’un jour, ma Foi changerait… Depuis que je l’ai rencontré.
J’avais 14 ans. Ce soir là, j’avais réussi à faire le mur pour quitter la ville et aller dans la forêt. A cet âge là, le goût de l’aventure m’était apparu à force de lire des livres. Oui, j’étais insouciant, mais sûr de mes compétences. J’avais pris une épée, au cas où, et j’avais la magie pour me protéger. En me promenant dans la forêt, un ours m’attaqua. Faisant face à la réalité du danger, mon corps refusait de bouger et mon esprit ne pouvait se concentrer. C’était à ce moment là qu’un inconnu vint me sauver : il se nommait Emrys. Je lui devais la vie. Il était mon premier ami…
Emrys vivait dans une grotte. J’ignorais pourquoi il ne voulait pas prendre une auberge ou vivre en ville au début. Mais, à force d’aller lui rendre visite en cachette pendant plusieurs semaine, nous nous liâmes d’amitié. Il m’expliqua qu’il ne vouait pas de culte envers la religion. Par le passé, Emrys faisait partie d’une secte vénérant les anciens dieux et les cristaux. Comme moi, il était un fervent croyant et se battait pour eux. Il pensait que ceux qui ne croyaient pas la même chose que lui devaient mourir. Mais, il avait vu qu’il s’était trompé pour sa secte. Il s’était rendu compte qu’elle lui avait empêché de penser par lui même. Et il m’avait conseillé de faire autant.
Je lui avais répondu que dans ma religion, au moins, les Seraph étaient réels. Ils étaient apparus à nous lorsque nous avions besoin d’aide, ils avaient répondu à nos prières. Rien que leurs existences étaient une preuve que l’Ordre des Astres avaient raison. Emrys me répliqua que ce n’était que des imposteurs. Certes, ils étaient puissant, mais cela ne faisaient pas d’eux des dieux. Je m’étais mis en colère. Je lui avais crié que ma soeur et moi-même prions les Seraph pour que notre mère guérisse. Et que lorsque ce voeu sera réalisé, alors cela sera la preuve qu’il aurait tord.
Mais, c’était moi qui m’étais trompé. Il pleuvait ce jour là. Quel cliché… Je venais de me réveiller. Ma soeur et moi courrions dans les couloirs alors que l’orage grondait. Les médecins avaient tout fait pour la soigner… Ma mère était morte. A ce moment là, ma foi inébranlable était devenue branlable. Quelque chose en moi s’était brisé. C’était différent de la mort de mon père. Sa mort était un crime perpétré par un ennemi de notre nation. Là, il s’agissait d’une maladie… A quoi cela servait toutes ces prières ?
Tandis que ma soeur allait se réfugier dans la prière, moi j’étais allé retourner voir Emrys. Il m’avait réconforté dans mon chagrin. J’avais besoin d’une épaule pour pleurer et il m’avait accueilli comme s’il était le père que j’avais perdu. Je ne savais plus si je devais me fier aux Seraphs. Ni à l’Ordre des Astres. Et j’eus bientôt ma réponse.
Le lendemain, des Magisters avaient retrouvé Emrys. C’était ma soeur qui les avait envoyé, prétextant que j’avais changé depuis sa rencontre. Elle savait que je disparaissais du manoir une fois la nuit tombée et qu’à chaque fois que je revenais, je changeais. Elle n’avait rien dit avant de peur d’inquiéter notre mère et d’empirer son état. Mais, elle accusait Emrys de me détourner de la foi et qu’il était une mauvaise influence pour moi. Et que c’était parce que je l’avais écouté et laissé me corrompre que notre mère était morte. Que c’était notre punition. Non, MA punition. C’était faux, évidemment, car Emrys avait toujours été gentil avec moi, même si nous ne partagions pas les mêmes croyances. Et que ce n’était pas parce que je ne le rejetais pas parce qu’il refusait d’embraser notre culte que notre mère était morte. J’essayais de convaincre ma soeur, mais c’était une peine perdue. Et même si je réussissais, c’était trop tard : Emrys avait avoué publiquement que non seulement il ne croyait pas que les Seraphs étaient des dieux, mais qu’autrefois il vouait un culte envers les anciens. Pourquoi il avait fait cela ? Je n’avais pas compris et je n’eus pas le temps d’aller lui demander : on l’avait brûlé au bûcher dans la place publique de la ville.
J’avais perdu toute foi envers les Seraph et l’Ordre des Astres. Jassica considérait que j’étais la cause de la mort de notre mère, mais que ce péché avait été lavé lorsqu’Emrys avait brûlé au bûcher. Je n’y croyais pas. Je ne croyais plus à rien. Ma soeur m’apprit que, pour mon bien, je devais réapprendre toute la religion depuis le début et encore plus poussé. Je fuguai pour la dernière fois du manoir, sans revenir.
J’avais quitté Theopolis. Un garçon de 14 ans ne pouvait survivre seul dans la forêt, mais je n’avais pas le choix. Pendant plusieurs jours, je luttais contre les monstres, les animaux, le froid, la faim, la soif et la fatigue. Fort heureusement, je fus secouru par une troupe de théâtre qui rentrait à Everbright, à Akantha. Je l’avais reconnu, elle s’était arrêtée pendant un temps à Theopolis. Les membres avaient accepté de m’emmener avec eux et m’avaient même proposé de rester avec eux, mais ne connaissant rien en théâtre, j’avais refusé.
4 ans étaient passés. J’avais 18 ans et je vivais à Everbright, à Akantha. Je m’y étais fait des amis, dans les rues. Des jeunes d’à peu près mon âge. On avait constitué une bande où j’avais appris l’art du déplacement. Nous passions notre temps libre à courir dans toute la ville, surtout sur les toits. Les gardes nous pourchaissaient, bien sûr, mais on usait de cette pratique pour pouvoir leur échapper. Côté boulot… j’en faisais des petits sans intérêt, mais qui me permettait de casser la croûte. C’était soit garder les boutiques en l’absence de quelqu’un, soit délivrer des messages… Des petits boulots quoi.
Oh, au fait, comme je n’avais dis à personne mes origines. Ni le fait que j’étais un Travelyan. Pour tout le monde, j’étais juste Neal. Et c’était mieux ainsi. Pour le meilleur et pour le pire.
Profil
- Pseudo : Neal Travelyan
- Âge : 23 ans
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- Personnage de l'avatar : Kingdom Hearts ▬ Sora / Vanitas
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