Au final, le serpent s’avéra assez coriace puisque j’eus le loisir de voir Mascarade se faire légèrement malmené dans tous les sens. Au final, Vàli prit l’initiative d’attaquer et nous le vîmes foncer vers la créature avant de poser sa main sur ses écailles. Ah, un nécromancien… Charmante créature que voilà, je ne devrais pas être surprise de la part d’une goule, après tout.
Quand la peau du reptile commença à pourrir, je marquai une grimace de dégoût tandis que je continuais de faire bouger mes doigts indemnes. Quelle idée d’aller frapper à main nue sur une armure pareille… Je faisais vraiment n’importe quoi.
Au final, je laissai faire les hommes puisqu’ils semblaient commencer à s’entendre et j’eus presque une petite pointe de tendresse à l’idée de voir ces charmantes personnes coopérer avec autant de panache.
Quand mascarade réussit à s’en sortir, il fonça alors vers la créature et poings en avant, s’enfonça dans la plaie. Eurk, je n’osais même pas imaginer l’odeur de ses gants après une action pareille… Mais au final, cela sembla porter ses fruits puisque le serpent se tordit de douleur.
Bien plus efficace que moi, murmurais-je dans un soupir.
Analysant la situation, il ne fut pas difficile de comprendre que dans un noir absolu, le serpent devait avoir un odorat et une ouïe exceptionnelle pour se déplacer. Lui crever les yeux ne devrait donc pas trop l’handicaper en-dehors de la douleur et je préférai me focaliser sur les deux fentes qui lui servaient de naseau. L’empêcher de respirer correctement voire totalement ne pouvait que nous apporter un avantage considérable et il fallait bien passer aux choses sérieuses.
Disparaissant alors de ma place, je calculai mon portail pour qu’il se matérialise juste en face de la gueule et sans attendre, je sortis deux coutelas que j’enfonçai allègrement dans ses orifices olfactifs. Ma main droite manquant de force, seul le deuxième pu pénétrer jusqu’à la garde, laissant un flot de sang d’une étrange couleur m’inonder la peau. Ayant déjà disparu avant qu’il ne réplique, je me rinçai immédiatement les mains, une poussée de maniaquerie m’envahissant soudainement. On n’était jamais assez trop prudents…
Saisissant mon sabre, j’ouvris un nouveau passage entre la plaie dans laquelle martelait mascarade et ma position, plus éloignée. Me joignant à lui, j’entrepris alors de tailler à distance la peau maintenant visqueuse et charcutée du serpent à grands coups de lame avant d’accélérer le processus. Si j’avais été seule, j’aurais pris la peine de prendre ma nature de séraph pour l’immobiliser entièrement et l’achever, mais il était suffisamment grand pour que cela me bouffe trop de mana sous cette apparence fragile. Une prochaine fois…
Quelle plaie… Lâchais-je simplement en continuant de trancher la chair. Qu’est-ce qui va nous attendre, après…
Quand la peau du reptile commença à pourrir, je marquai une grimace de dégoût tandis que je continuais de faire bouger mes doigts indemnes. Quelle idée d’aller frapper à main nue sur une armure pareille… Je faisais vraiment n’importe quoi.
Au final, je laissai faire les hommes puisqu’ils semblaient commencer à s’entendre et j’eus presque une petite pointe de tendresse à l’idée de voir ces charmantes personnes coopérer avec autant de panache.
Quand mascarade réussit à s’en sortir, il fonça alors vers la créature et poings en avant, s’enfonça dans la plaie. Eurk, je n’osais même pas imaginer l’odeur de ses gants après une action pareille… Mais au final, cela sembla porter ses fruits puisque le serpent se tordit de douleur.
Bien plus efficace que moi, murmurais-je dans un soupir.
Analysant la situation, il ne fut pas difficile de comprendre que dans un noir absolu, le serpent devait avoir un odorat et une ouïe exceptionnelle pour se déplacer. Lui crever les yeux ne devrait donc pas trop l’handicaper en-dehors de la douleur et je préférai me focaliser sur les deux fentes qui lui servaient de naseau. L’empêcher de respirer correctement voire totalement ne pouvait que nous apporter un avantage considérable et il fallait bien passer aux choses sérieuses.
Disparaissant alors de ma place, je calculai mon portail pour qu’il se matérialise juste en face de la gueule et sans attendre, je sortis deux coutelas que j’enfonçai allègrement dans ses orifices olfactifs. Ma main droite manquant de force, seul le deuxième pu pénétrer jusqu’à la garde, laissant un flot de sang d’une étrange couleur m’inonder la peau. Ayant déjà disparu avant qu’il ne réplique, je me rinçai immédiatement les mains, une poussée de maniaquerie m’envahissant soudainement. On n’était jamais assez trop prudents…
Saisissant mon sabre, j’ouvris un nouveau passage entre la plaie dans laquelle martelait mascarade et ma position, plus éloignée. Me joignant à lui, j’entrepris alors de tailler à distance la peau maintenant visqueuse et charcutée du serpent à grands coups de lame avant d’accélérer le processus. Si j’avais été seule, j’aurais pris la peine de prendre ma nature de séraph pour l’immobiliser entièrement et l’achever, mais il était suffisamment grand pour que cela me bouffe trop de mana sous cette apparence fragile. Une prochaine fois…
Quelle plaie… Lâchais-je simplement en continuant de trancher la chair. Qu’est-ce qui va nous attendre, après…