Greyhawk Alec
Le NéphilimIdentité
- Race : Ange
- Âge : 22 ans
- Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
- Situation personnelle : Célibataire
- Nationalité : Mearian
Points de caractéristiques
- Physique :
- Agilité :
- Force :
- Endurance :
- (Techno)magie :
- Mana :
- Puissance :
- Contrôle :
Compétences [3/3 slots]
Magie : Jugement Aquilin
La magie du jeune ange concerne les volatiles. Depuis l’enfance, Alec possède un lien puissant avec cette espèce animale : le goût pour l’aventure et la liberté, mais surtout la passion principale des rapaces : la chasse. Il aurait pu puiser sa magie dans d’autres sous-espèces, mais son être intérieur ne ressent cette connexion qu’avec ces oiseaux doués d’une agilité surprenante et d’une envergure des plus exceptionnelles. Les rapaces sont devenus une sorte de totem pour le néphilim. Cette magie lui octroie un contrôle absolu sur ses propres plumes et ailes, mais aussi sur les rapaces. Ce contrôle se décline en de nombreuses possibilités qu’il ne tient qu’à lui de découvrir au cours de son voyage dans ce bas-monde.
Hawkeye
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[Attribut Racial] : Ailes du jugement
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Plumokinésie
En combinant le sort des « ailes de fer » et le sort « plumokinésie », Alec sera capable de contrôler avec son esprit des plumes qui possèdent la résistance du fer, qu'il nomme lui-même " dagues-plumes".
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Physique
Il n’y a pas point de repos pour les braves, une expression qui reflétait pleinement le métier de magister. En conséquence, Alec portait toujours sur lui une armure faite spécialement pour des anges. Ainsi, elle n’abîmerait jamais ces deux paires d’ailes, pourvus de plumes d’un blanc-gris étoilé qui ne faisait qu’ajouter de la fantaisie à son charme. L’armure ressemblerait à s’y méprendre à une armure de l’armée chinoise de l’univers terrestre. Les motifs représentant des figures et des créatures inconnues de son possesseur. Il porte toujours une cotte de mailles et une tunique sous son armure. Il se contente d’un pantalon et des jambières de protection pour sa sécurité en dessus de la ceinture (Certaines n’apprécieraient pas que sa…Hum hum touss touss soit endommagée). Des bottes viennent généralement compléter ses vêtements de courtisans, mais aussi son uniforme de guerre. Il ne préfère pas porter les armoiries de sa nation sur ses vêtements, de peur de les déshonorer.
Arme :
Alec ne sait pas de quelle origine est son arme. Cette arme appartenait à son ancien mentor. L’ange a récupéré ce fabuleux trésor avant de quitter l’orphelinat. Cette épée possède des glyphes dans un ancien langage runique et angélique. Elle se prénomme « Seraph blade », le poignard séraphique. Il sait seulement que sans cette arme, il ne serait plus en vie depuis quelques années.
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Caractère
La loyauté, celle qui anime un peuple envers la terre de ses ancêtres. Alec ne sait pas de quelle ascendance provient son sang, mais il est né en Mearian et ils espèrent que ses ancêtres aussi. Le mearien serait donc capable de tout pour sa nation, sa patrie. Néanmoins, il ne possède pas cet esprit de sacrifice total. Il ne va clairement pas sacrifier sa vie pour un gouvernement. Ce sentiment de conservation se mêle avec une ambition démesurée. S’il perd la vie, comment assurera-t-il sa descendance et son prestige. Il ne souhaite pas disparaître complètement de ce monde.
Le jeune homme a développé un esprit combattif au cours de ses chasses. Il faut se montrer brave, intrépide pour tenir l’arme et abréger la vie d’un être, quel qu’il soit. La chasse a aussi développé la stratégie dans l’âme du néphilim. Il faut se montrer rusé pour attraper un animal dont la vélocité est surhumaine. Alec s’est révélé aussi calme que réfléchi. Il aimait jouer à des jeux de logique ou se passionner pour des ouvrages.
Les nonnes ont fait de lui, un parfait gentleman, grâce à leur enseignement. Le jeune homme va toujours respecter l’honneur d’une femme. Il est aussi un grand séducteur, désireux de connaître la biologie féminine. Sois disant, c’est juste un coquin.
L’orphelin bénit un peu plus sa nature propre jour après jour. Il ne partage pas cette adoration des anges. Il pense que les anges sont une race parmi tant d’autres. Ils ont beau être les maîtres des cieux, on peut en dire autant des salamandres qui peuvent être vus comme les « seigneurs du feu ». Tel un oiseau, Alec aime cette sensation de liberté, des bourrasques qui frappent son visage lorsqu’il s’élance dans l’océan céleste. Il n’est pas rare aussi de le voir voleter à dix centimètres du sol au lieu de marcher. Il possède aussi un amour pour les aquilins, respectant ses nobles animaux. D’ailleurs, il rêve depuis des années de rencontrer deux espèces surnaturelles : les phénix, des volatiles aux plumes enflammées et les hyppogriffes, fiers destriers ailés. Une qualité que partageait Alec, la fierté. Il n’aimait pas beaucoup qu’on souligne ses torts.
Alec avait aussi ses mauvais penchants. Il pouvait se montrer d’une cruauté et d’un cynisme sans borne envers une « cible », c’est-à-dire un ennemi. Il n’est pas conseillé de devenir un problème gênant pour lui, sous peine d’être éliminé. Il sait cibler la faiblesse de chacun. Son ambition démesurée peut aussi le pousser à commettre des extrêmes. C’est d’ailleurs un profond jaloux. Il ne partage généralement qu’avec sa « fratrie » ou ses amis. Le jeune adulte représente bien sa race : la recherche des richesses et du pouvoir. Il veut cependant les obtenir par le travail, et non le vol. Par contre, son esprit légèrement perverti ne considère pas le business, les magouilles comme du vol. Il voit plutôt celles-ci comme un jeu stratégique. Le plus rusé rafle la mise, c’est la logique des choses.
Après tout, la nature humaine est complexe, et les anges ne possèdent rien de plus que l’humanité à part des ailes et une espérance de vie plus longue.
Histoire
Le feu ravageait le bois, qui fut autrefois une bâtisse. On entendait des cris de souffrance, des sanglots causés par la douleur occasionné par cet incendie. La femme, car c’était bien une femme, regardait cet horrible spectacle se dérouler sous ses yeux, les larmes roulant sans aucun arrêt sur ses joues rougis par la tristesse. Son mari avait eu des ennuis avec certains habitants du village au sujet de la foi. En effet, son bien-aimé clamait que les Séraph ne pouvaient être des dieux sinon ils ne laisseraient pas leurs peuples mourir dans une telle pauvreté. Il avait payé le prix de telles accusations. L’hérésie était un crime dans leur douce nation. Les meariens qui connaissaient de tels hérétiques préféraient se débarrasser du problème avant que celui-ci ne porte préjudice à l’ensemble de la communauté.
La femme ne savait point comment continuer sa vie sans l’aide de son mari. C’était lui qui s’occupait de nourrir la petite famille, travaillant sans relâche dans les champs. Désormais, elle avait tout perdue, elle n’avait plus rien. Ni d’argent, ni de maison…
Du moins, elle n’avait plus rien de matériel en ce monde. Quelques mois plus tôt, elle et son Mari concrétisait ensemble leur amour avec la venue d’un enfant. La meilleure nouvelle de leur vie, le fruit d’un amour consommé, la prétention d’un espoir pour une nouvelle vie. Elle pensait que les nouveaux dieux les avaient exaucés, mais son mari n’avait jamais été d’accord. Il croyait en la nature, en les éléments. Les immortels qui préféraient une race par rapport aux autres, même si les deux époux partageaient les gènes de cette race ailée, ne pouvaient prétendre à ce titre. Cette différence de croyance pour autant ne les avaient point dérangée dans leur vie commune jusqu’à aujourd’hui. Désormais, la mère avait été assimilée à l’hérésie de son mari. Ses anciens amis, si fidèles, autrefois, ne souhaitaient même pas voir le visage de la femme enceinte. Les autres villageois occultaient sa présence.
Cette insécurité dura des mois. Elle ne manqua pas de nourriture, les villageois appliquant les valeurs sacrées qui voulaient que nul ne soit abandonné sur ses terres. Elle donna finalement naissance à son bébé, loin de tous, avec l’aide de la guérisseuse du village. Le travail dura des heures, le visage serein de la femme laissant place à un visage douloureux, puis à de la félicité. Elle avait donné la vie à son enfant, au souvenir de cet amour qu’elle avait partagé avec son mari. Elle ne put malheureusement profiter plus longtemps du bonheur de tenir dans ses bras charnus et glissants à cause de la sueur, son bébé, car sa tension augmenta d’un coup et avant que la guérisseuse ne constata ce fait, la jeune femme avait déjà rejoins les esprits de ces ancêtres nuls ne sait où. En d’autres termes, elle était morte en couche, laissant son enfant sans famille.
La guérisseuse, prise de pitié pour le garçon puisque s’en était bien un, ramena l’enfant avec elle au village. Elle lui conféra aussi le prénom que la défunte mère lui avait juré de conférer à l’enfant en cas de complication. En effet, la jeune femme souffrait d’une maladie rare qui avait une intense sensation sur sa santé. Le bébé était né ange, son dos pourvu de magnifiques petites ailes encore fragile.Il semblait posséder une innocence, ne se doutant pas que sa venue au monde avait entraîné la mort. La guérisseuse fit alors ce qui était en son pouvoir pour cet enfant, elle le déposa devant la pension d’un homme de foi. Il était coutume que les orphelins rejoignent un orphelinat religieux afin qu’ils soient néanmoins formés aux bases sacrées sur lesquelles reposaient la politique et la sécurité de ce pays. Pour autant, cette religion ne les éloignait point de leurs traditions ancestrales, de cette proximité avec la Nature, image de la continuité de ce monde.
Alec, tel fut son prénom, grandit dans cet orphelinat, entouré d’une certaine compassion, et même affection. Les « madames de l’orphelinat », comme il aimait les nommer, se pliaient en quatre pour que les orphelins ne manquent de rien. Ils étaient nourris, logés et éduqués. L’ordre des astres prenait soin de ses rejetons, octroyant des moyens à leurs prêtres pour qu’ils puissent monter des communautés instruits dans la bonne grâce des « archanges ». Les orphelins avaient donc reçu une formation de catéchisme pour être un bon citoyen de ce monde. Mais ce ne fut pas suffisant pour le jeune Alec. Il ne possédait aucun souvenir de ses véritables parents, aucune possession lui appartenant. Il n’avait que ses yeux bizarres hérités sûrement d’un membre de sa famille biologique.
Marqué par la solitude, le gamin ne se mélangeait pas trop avec ses camarades d’infortune. Sa nature, son espèce n’arrangeait point les choses. Le jeune homme était le seul ange orphelin de la communauté, les autres étant soit lycans, salamandres, humains ou encore sirènes. Les enfants étaient encore dans une phase ou la mentalité était difficile même si innocente. Le fait d’être bien vu par les villageois, car j’étais un ange, un des « messagers naturels des nouveaux dieux ». Ce fait avait causé une forme de jalousie avec mes autres camarades. Le garçon était de nouveau mis à l’écart, à cause de ces résultats. Le magister qui accompagnait le prêtre venait leur faire les cours chaque matin s’il n’avait pas de mission à accomplir pour le gouvernement. Alec s’était illustré très tôt dans les études, et notamment les études de la magie. Dès l’âge de 7 ans, il éveilla sa propre magie. Cette période fut importante dans la vie du jeune garçon. Il se passionna réellement pour l’apprentissage de la magie, mais aussi pour l’apprentissage général. Il demanda très tôt à son instructeur de lui apprendre l’art du combat, afin de se défendre lorsqu’il ne serait plus pensionnaire du temple. En effet, le jeune garçon savait que lorsqu’il serait majeur, il était obligé de trouver lui-même sa voie, chose qui arriverait dans une décennie. L’orphelinat se trouvait dans une région limitrophe d’une des frontières du pays, loin de n’importe laquelle des villes importantes. Ainsi, peu de familles meariennes venaient adopter les enfants de l’orphelinat. Un miracle qui n’apparaissait que très rarement.
Durant quelques années, les jeunes de l’orphelinat apprenaient avec le maître la magie et l’art de la défense. Le prêtre et le magister, bergers de la foi souhaitaient aiguiller les orphelins dans les voies importantes de l’ordre. Ils pourraient se créer une vie stable en tant que représentant de l’ordre des astres. Une philosophie qui s’avéra payante. La majorité des enfants voulaient rejoindre l’ordre des astres afin de remercier leurs protecteurs divins. Sans l’argent des Séraphs, ils seraient morts depuis.
Le magister, d’origine villageoise également, il leur apprit l’art de la chasse afin qu’il sache tirer leur nourriture de la nature environnante. Alec se montra plutôt bon à ce jeu, aimant la découverte et l’aventure. Par contre, il montrait du respect à la nature ne chassant que si cela demeurait nécessaire pour pouvoir se nourrir en protéines. Les animaux aussi étaient des êtres vivants, la religion ne voulait pas qu’on fasse du mal impunément, même au plus faible des êtres vivants.
Sa douzième année, marqua le début d’un conflit international. Le garçon ne comprenait pas toute cette agitation autour d’une simple insurrection dans son esprit d’adolescent. Pour autant, le conflit faisait des morts, déchirait des familles. De nombreux orphelins de la région avaient depuis trouvés refuge dans le temple, n’ayant plus de parents à cause de la guerre. Alec jalousa ces victimes indirectes. Ils n’avaient plus de parents, mais ils connaissaient leurs familles, ils avaient des racines. Certains retournaient dans leur famille, adoptés par des oncles, des tantes voir même des grands-parents. Lui, il n’avait personne. On savait juste lorsque le prêtre l’avait recueilli avec les nonnes, qu’il s’appelait Alec grâce à un mot. Il connaissait son prénom, mais chaque être de ce monde possédait un patronyme, non ? Un fabuleux trésor qui renseignait sur l’histoire de ceux qui avaient contribué indirectement à sa naissance. Il s’enquit un jour au prêtre après la messe :
« -Mon père, je me demandais si vous aviez des informations concernant ma filiation ? Une information de plus que vous auriez appris au cours de ces années ?
-Alec, mon enfant, vous me voyez désolé de vous apprendre que je n’ai reçu aucune autre information vous concernant, mon cher.
-Mais mon père, comment puis-je trouver une place dans ce monde si je ne connais pas mon passé. De nombreux camarades, même s’ils sont orphelins, connaissent au moins leur patronyme ou une vie avant l’orphelinat, se plaignit l’enfant.
- Alec, la vie n’est pas régis par le passé. Le passé est le passé, il est derrière toi. Ce qui est important, c’est de construire votre avenir, mon enfant. Vous pouvez décider de construire votre propre lignée, de vous forger votre propre patronyme. Libre à vous de devenir ce que vous voulez. Les Séraph nous ont légué un adage : « Qui le veut, le peut », répondit le prêtre avant de se lever et de rejoindre son office. »
Le garçon songea à ces paroles longtemps, pesant le pour et le contre. Il décida de suivre ce conseil au bout de quelques semaines. Le jeune adolescent recherchait un moyen de se créer une vie stable, et généralement cela passait par le port d’un patronyme. Le garçon chercha, chercha, mais aucune réponse ne lui vint. Ce fut un soir, alors qu’il regardait le ciel étoilé que le jeune homme trouva la réponse : un faucon pèlerin, d’un gris particulier, passa dans le ciel, survolant majestueusement la cime des arbres, sûrement occupé par une chasse nocturne. Alec décida donc qu’il serait comme cet oiseau : libre, puissant et déterminé, le tout saupoudré d’une grâce peu commune. En cette nuit, Alec Greyhawk prenait son envol. Toutefois, le temple connu une crise sans précédent : le magister, un ange comme Alec, était parti défendre les filons miniers dans le continent perdu. Ce fut un choc pour l’adolescent. L’un de ses mentors, l’un de ses « tuteurs » les avaient abandonnés, lui et sa fratrie. L’abandon était devenu décisif lorsque le jeune homme eut 14 ans. Le magister, feu William Rosales, avait péri sous les lances ellgardiennes. En sa mémoire, le prêtre et les nonnes décidèrent de lui organiser des funérailles dignes de ce nom, en accord avec la famille du défunt. Les enfants furent conviés. Ce fut un moment mémorable, un moment qu’Alec n’oublierait pas de toute son existence. Au fil du temps, l’ange s’était découvert une vraie famille dans cet orphelinat. Les adultes faisaient office d’oncles et de tantes, et les enfants étaient sa fratrie. Ils mourraient pour eux, ils tueraient pour eux si cela s’avérait nécessaire. C’étaient ses frangins, quelque soit leur sang, leur race, il formait une famille par la grâce des séraphs.
Les adolescents, comme Alec, s’occupaient d’apprendre les bases aux plus jeunes comme l’avait fait leur défunt oncle. Alec avait toujours connu ce goût, savourant le savoir que lui octroyait les ouvrages du temple. Il perfectionnait aussi sa magie. En effet, depuis sa plus tendre enfance, le jeune « hunter » souhaitait rejoindre les rangs des magisters. Il souhaitait donner cette chance à d’autres enfants à travers le monde de connaître la bonté dieux et de reconnaître en sa personne, qui sait, un parfait mentor. Il resta à l’institut jusqu’à ses dix-huit ans, partant pour une longue aventure. Le prêtre et ses acolytes tentèrent de le retenir avec un poste bénévole. En effet, Alec avait été l’un des plus brillants élèves du magister et le prêtre voulait que l'ange reprenne le rôle d’enseignant. Mais il le savait au fond de lui-même, le garçon devait poursuivre son propre chemin loin de l’orphelinat et du temple. Le « berger des séraph » ne pouvait que bénir celui qui fut autrefois l’un de ses protégés et espérer que leurs chemins se recroiseraient dans un avenir proche.
Le garçon ne fut pas le seul à quitter le foyer. De nombreux adultes de son âge ne restaient pas aider au temple. Parmis ceux-ci figuraient deux de ses plus proches amis : Isabella Santos, une salamandre et Valentin Morningstar, un humain. Durant plus de deux ans, le trio voyagea dans l’ensemble des nations les plus intéressantes, se nourrissant en chassant ou en vendant les fourrures des proies. Ils ne firent pas de richesses, mais ils purent rester en vie.
Les êtres de ce monde avaient créé la mort, se défiant dans des guerres incessantes, dont le but est de prouver la force d’un pays par rapport à un autre. La première grande guerre, depuis la fin de l’ancien royaume de l’immortel Ephraïm. Pour Alec et ses compagnons, ce conflit durait depuis près d’une décennie. Sa nation, Mearian avait souffert de ce conflit, décimant sa population dans le but d’aider les Séraphs. Des amis étaient séparés par la mort, certains rentraient diminués à tout jamais dans leurs familles. D’autres, de jeunes pousses, avaient été privé de la chance de concevoir leur descendance. Ils avaient tout sacrifiés pour le bonheur de leur peuple. Ces diables d’impériaux ne cessaient de concevoir des armes plus dangereuses les unes que les autres avec ces cristaux magiques, véritables reliques depuis l’an 0. Du moins, seules les hautes autorités connaissaient en détails l’histoire de ces cristaux. Mais revenons à nos moutons.
Alec s’était engagé avec ses amis dans l’académie des magisters. Les épreuves étaient à la fois théoriques et pratiques. Le gouvernement souhaitait s’assurer des connaissances religieuses et des connaissances magiques des candidats. Alec fit preuve de son dévouement envers la théocratie, ainsi que de ses prouesses magiques.
Le trio sortit « diplômé » de l’académie. Ils faisaient désormais partie des rangs des mages de guerre. Alec Greyhawk, Isabella Santos et Valentin Morningstar étaient devenus des magisters, pour le meilleur et le pire, à l’âge de 22 ans et j’en suis sûr, de nombreuses aventures les attendent encore….
Fin
Profil
- Pseudo : Alec
- Âge : 20 piges
- Tu nous as trouvé où ? J'ai trouvé LT via un topsite mais, comble de l'ironie, c'est la Seraph de la Peur qui m'a convaincu de rp avec vous ( dire que c'est une ennemi maintenant, sniff)
- Un autre compte ? Non
- Personnage de l'avatar : Rage of Bahamut ▬ Arch Seraph Lucifer
- As-tu lu le réglement ? Oui